. Les oewres de chirurgie de Iacques Guillemeau, chirurgien ordinaire du Roy et Iure a Paris : avec les portraits et figures de toutes les parties du corps humain et des instrumens necessaires au chirurgien . celles defquelles nous nefperions rien moins que la mort, font venues àguairifon. Nous tenons que quelques vns font cfchappez encore quils ayenteftébleflez aux membranes du cerneau Voire mefme le cerueau ayant efté couppé : com-me aufll aucuns eflre guairis encore quils ayentefté bleflez aux poulmons3diaphrag-me,foye,boyaux grefles,vefcic, reins, matrice:&: toutefois auec
. Les oewres de chirurgie de Iacques Guillemeau, chirurgien ordinaire du Roy et Iure a Paris : avec les portraits et figures de toutes les parties du corps humain et des instrumens necessaires au chirurgien . celles defquelles nous nefperions rien moins que la mort, font venues àguairifon. Nous tenons que quelques vns font cfchappez encore quils ayenteftébleflez aux membranes du cerneau Voire mefme le cerueau ayant efté couppé : com-me aufll aucuns eflre guairis encore quils ayentefté bleflez aux poulmons3diaphrag-me,foye,boyaux grefles,vefcic, reins, matrice:&: toutefois auec les anciens & félon laraifon nous eftimons telles playes mortelles: au contraire il fe Vbid desperfonnesmourir pour de petites playes,& comme fupé en cecy il faut cûnfiderer àucuàïquil y a différence entre les bleflez, tellement quil y en a, qui font fi bien tempérez meure„t déquils guairiront dvne grande playe,laquelle fera mortelle en vn autre corps : au con- petites fl#>traire il y a des perfonnes, qui ont reccu des playes es parties abie&es & non neceflai- jeures, fans profonder, defquelles touiesfois ils font morts-, ou pour la conftitution du. ïpo Les Opérations de temps,ou,pour lafflucnce de la cacochymie, qui découle fur la partie bleflee^artancencore que quelques playes foyent guairiflables,&: quelles ioyent daflez bonne qua-lité, fans montrer aucun mauuais ligne, lorsque nous enfaiions rapport, il ne fauttoutefois iamaisiugcrabfolument,mais dire que la playe eft guairiifable, moyennantque Ion ne face point de faute : ce qui sentend tant de la part dublefle, que de celuyquilepenfe,quedc ceux qui luy aftiftcnt,que des chofes exté iuremet Partant il faut tenir foniugement fufpendspour quelque temps,fans faire fonrap-âatt efire port abfolument du premier iour que laperfonneauraefté lesfignes defufpens. bien ou de mai,nappareillent pas fi toft:& faut confiderer que toute playe a fon com-mencement,augment &: e
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