. Les simulachres & historiees faces de la mort, autant elegamme[n]t pourtraictes, que artificiellement imaginées. ,ÔC toutes les beftes ne luy pouuoyent reiîfterîqui neft aultrechofè,que la figure de celle Mort,qui à deux cornes* Et iî Ionen euite lunejon ne peult fuyr laultre JEUe frappe en Oriêt,ceft afcauoir en leage puerile,& en lAustralie region,qui e/1en la iuuentude immunde ÔC chaleureufè+EUe frappe auffi ertSeptentrion froid ÔC fec,qui eft en la vieillefle. Puis en Occtedent*Car aulcuns iniques a décrépite elle attend,& ceulx làfîert plus moleftement daultant que plus lont precedée,ge
. Les simulachres & historiees faces de la mort, autant elegamme[n]t pourtraictes, que artificiellement imaginées. ,ÔC toutes les beftes ne luy pouuoyent reiîfterîqui neft aultrechofè,que la figure de celle Mort,qui à deux cornes* Et iî Ionen euite lunejon ne peult fuyr laultre JEUe frappe en Oriêt,ceft afcauoir en leage puerile,& en lAustralie region,qui e/1en la iuuentude immunde ÔC chaleureufè+EUe frappe auffi ertSeptentrion froid ÔC fec,qui eft en la vieillefle. Puis en Occtedent*Car aulcuns iniques a décrépite elle attend,& ceulx làfîert plus moleftement daultant que plus lont precedée,geîsmiffemens ÔC douleurs,de la faîut no efperee* Et a ce proposdifoit SeneqJl ya aultres genres de mortz qui font méfiezdefperance» La malladie à faic*t. fon cours quelque foys linsflammation {eftain«fh La mer reiecTre hors plufieurs quelleauoit engloutyXe Cheuallier reuoeque fouuent le coufteaudu chef de celluy quil vouloit occir» Mais de çelluy lequeldécrépite coduiA a la Mortel* à chofe en quoy il e(pere*Maisle bon Seneque en fon liure des naturelles qftions baille vng H n. DES HVICT FIGVRESbon remède pour ncftre côfterné au dur poind: de la Mort,difànt. Fais que la iMort te foit familière par cogitation,arTinque ii ainfi le permccl: for tune,que tu ne la puiiic feullementattend! e3i nais que auiTj hardiment luy voifè audeuanu Chapitre de la tierce face de la Mort» l les Iarrcns,c\ malfaiteurs fc fcauoicnr tran^for*mer,& dclgiiifei e^ lJeux->OU ilz faicl le mal,loiiuêtesfoisilzcujtcroiCt le Gihct;ou les peines|dc nousvoyons cômunement adue*nir,quilz font toufiours pris a limproucu,^ que Je pechélcsmaineainfi,quc la plus part djceulx fe viennent brûler ala chandelle. Scmblablcmêt files pécheurs de ce môde,apresce,quilz ont offencé Dieu,(è feauoient transformer,^ tranfeporter de péché par pénitence a gracc,lctcrncl luge ne lesrccongnoiftroitpour les condemner aux éternelles pource quilz (è confien
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