. Bruxelles à travers les âges . ublic bruxellois aurait souffert cruellement de la suppression pendant prèsde deux saisons des brillantes soirées dopéra et de comédie auxquelles il étaitsi accoutumé et si fidèle dans la vieille salle de la Monnaie. Aussi, dès le lendemaindu désastre, ladministration communale comprit-elle la nécessité, dans lintérêt dupublic lui-même autant que dans lintérêt des artistes qui ne demandaient quàéviter tout chômage, de trouver pour la troupe du Grand-Théâtre une salle appro-priée aux nécessités scéniques du grand opéra. On hésita quelque temps entre lasalle du
. Bruxelles à travers les âges . ublic bruxellois aurait souffert cruellement de la suppression pendant prèsde deux saisons des brillantes soirées dopéra et de comédie auxquelles il étaitsi accoutumé et si fidèle dans la vieille salle de la Monnaie. Aussi, dès le lendemaindu désastre, ladministration communale comprit-elle la nécessité, dans lintérêt dupublic lui-même autant que dans lintérêt des artistes qui ne demandaient quàéviter tout chômage, de trouver pour la troupe du Grand-Théâtre une salle appro-priée aux nécessités scéniques du grand opéra. On hésita quelque temps entre lasalle du Parc et celle du Vaudeville. Mais toutes deux étaient de dimensionstrop restreintes. Le Vaudeville était un petit théâtre de création assez ré était situé rue de lÉvèque et avait été inauguré le ier janvier 1845. Il avaitpromptement obtenu la vogue en montant les opérettes à succès des scènesparisiennes, et il la garda jusquà sa disparition. Vers 1860, le bâtiment fut démoli,. Eugène Simonis, statuaire (1810-1882).Auteur du fronton du Théâtre de la ès la lithographie de Baugniet.
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