. Bulletin de la Société géologique de France. ron 45°. A ces raisons nous ajouteronsle résultat de nos observationspersonnelles. Sur un exemplairede Riadan, dont la carapace a étéremplacée en majeure partie pardu fer sulfuré, nous avons faitune série de coupes perpendicu-laires à lune des pointes génales;deux sections (fig. a et 6) traver-sent la pointe génale entre langlepostérieur des joues et le pointoù se produit la bifurcation,montrant très nettement le canalcentral, les arêtes dorsale etventrale, et les prolongementssubaliformes interne et ès la bifurcation (fig. c et à)on re
. Bulletin de la Société géologique de France. ron 45°. A ces raisons nous ajouteronsle résultat de nos observationspersonnelles. Sur un exemplairede Riadan, dont la carapace a étéremplacée en majeure partie pardu fer sulfuré, nous avons faitune série de coupes perpendicu-laires à lune des pointes génales;deux sections (fig. a et 6) traver-sent la pointe génale entre langlepostérieur des joues et le pointoù se produit la bifurcation,montrant très nettement le canalcentral, les arêtes dorsale etventrale, et les prolongementssubaliformes interne et ès la bifurcation (fig. c et à)on retrouve la branche princi-pale ayant conservé ses mêmescaractères, et près delle, à unedistance plus ou moins grande suivant le point où passe la coupe, onremarque la section de lautre pointe, de dimensions plus petites quela première, ayant comme elle un canal central avec des parois conti-nues et quatre arêtes bien distinctes, quoique moins accusées quedans la branche principale. Ce fait suffit pour démontrer que la. Fig. a, b, c, d. — Sections transversalesdune pointe génale de T. Ponge-rardi, Rouault. a, coupe passant nonloin du point de départ de la pointegénale ; b, idem, au-dessus de la bifur-cation; c, idem, après la bifurcation;/, idem, en un point oij les deux poin-tes sont plus écartées. Gros. 12/1. 310 œHLERT petite branche ne peut être le résultat dune dissociation des partiesdorsale et ventrale de la pointe ayant glissé lune sur lautre. Cecaractère a évidemment cela de particulier quil na rien de constantdans T. Ponyerardi, tant par sa place, que par sa présence même. A cepropos, nous ferons remarquer la tendance que présentent certainsprolongements du test des Trilobites à se bifurquer et se ramifier,il nous suffira de citer quelques exemples, tels que : la forme duprolongement céphalique savançant au droit du front de certainsDalmanites, qui est bifurqué dans certaines espèces [D. (Proholium)nasutus) trifur
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