. [Paraphrase des pseavmes de David, : en vers françois, . ntil,Ou fe cache ce Dieu quinfenfez ils adorent? Ne permets pas aux NationsDe triompher toujours de nos afflictions,Et de croire quen vainiKJS prières timplorent. Leffroyable courroux de nos cruels bourreauxDu fang de us eiifans agroffy les ruilTeauxjEnten fa voix qui crie, & demande vengeance, Gy nos triftes gemiiïèmens,Romps nosbarbaresfers,iînis nos longs tourmem, SVR IE PSEAVME L X X V I 11. i6y Et fais pour nous fauuer paroiftre ta puifïànce. Eternel, fais vn coup, mais digne de ta main,Pour deliurer du joug dvn vainqueur inhumain
. [Paraphrase des pseavmes de David, : en vers françois, . ntil,Ou fe cache ce Dieu quinfenfez ils adorent? Ne permets pas aux NationsDe triompher toujours de nos afflictions,Et de croire quen vainiKJS prières timplorent. Leffroyable courroux de nos cruels bourreauxDu fang de us eiifans agroffy les ruilTeauxjEnten fa voix qui crie, & demande vengeance, Gy nos triftes gemiiïèmens,Romps nosbarbaresfers,iînis nos longs tourmem, SVR IE PSEAVME L X X V I 11. i6y Et fais pour nous fauuer paroiftre ta puifïànce. Eternel, fais vn coup, mais digne de ta main,Pour deliurer du joug dvn vainqueur inhumainCeux qui portent la mon fur leurs vifages blefmes, En te vengeant, vient noas venger ;Et ne nous îaiiTe pas dauantage outrager,Far ceux de qui la bouche eft ouuerte aux bkfpheme*. Nous e(perons, Seigneur, de voir dans peu de joursLuire en rroflre faueurcét amoureux fecours,Dont nous reconnoiflbns que nous fommes indignes; A lors ton ridelle troupeau,Dira de race en race vn cantique nouueau,Pour apprendre aux mortels tes rnerueilles infî M 9 Z& Paraphrajs P S E A V M E LXX4X. Qui régis Ifraêl intende: qui deducis velut ouem Iofeph, ARGUMENT. Le/ujet de ce Vfeaume e/lferablable a celuy du précèdent. /~\ Grand Roy quIfbèl a pour fon condu* fteur ! O puiflfant ôc fage Pafteur Qui gouucrnes Io-feph fous ta fainte houlette ; Dîeu,qui fur les Chcru-bins, Par des oracles diuins, Découuresauxmor- lÊiÊ$ÊpjÊÉ^Ep teir ta volonté fecrette. Qu/Ephraïm dont le luftre eftfi fort efFacé,Que Benjamin, que Manafle, Reffentent ton fecours dans leurs longues miferesjDieu des batailles, voy-nousDvn regard qui foit plus doux, Et fauue les enfans, dont tu fauuas les percs. Fay-nous bien-toft reuoir lagréable fejour,Où nous fommes venus au jour, îctte fur tes enfans vn regard fauorable;Iufqu*à quand, Dieu des combats,Qui met les trofnes à bas , Auras-tu pour ton peuple vn coeur inexorable $ $VR l£ PSIAVM! LXX1X. l6«> | En ce funefte eftat dopprobre & de malheur
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