. Annales des sciences naturelles. Zoology; Biology. ETUDE DES GLANDES LABIALES DES HYDROCORISES 235 chondriales que chez Notonecta, où l'on peut voir, à la partie basale des cellules du réservoir, comme une rangée de bâtonnets granuleux, colorables par la méthode de Benda et ressemblant aux bâtonnets de Heidenhain, ainsi que des chondriosomes libres dans la partie supérieure de la cellule (fig. 24). Celle-ci est presque identique par sa structure aux cellules des tubes de Malpighi de la même espèce. Chez Naucoris et chez Nepa je n'ai pu voir de semblables chondriochontes ; mais j'ai pu mettre


. Annales des sciences naturelles. Zoology; Biology. ETUDE DES GLANDES LABIALES DES HYDROCORISES 235 chondriales que chez Notonecta, où l'on peut voir, à la partie basale des cellules du réservoir, comme une rangée de bâtonnets granuleux, colorables par la méthode de Benda et ressemblant aux bâtonnets de Heidenhain, ainsi que des chondriosomes libres dans la partie supérieure de la cellule (fig. 24). Celle-ci est presque identique par sa structure aux cellules des tubes de Malpighi de la même espèce. Chez Naucoris et chez Nepa je n'ai pu voir de semblables chondriochontes ; mais j'ai pu mettre en évidence des grains irréguliers, peu nombreux, plus ou moins volumineux, très colorables par la méthode de Regaud (fig. 25), et qui semblent. Fig. 25. — Épithéliuni du réservoir chez Naucoris. Boules lipoïdes et raiaifications trachéennes. être des vacuoles lipoïdes analogues à celles que l'on rencontre dans le tube urinaire des Vertébrés. Le réservoir est très richement pourvu en ramifications tra- chéennes. Chez Naucoris^ par exemple (fig, 3), un gros tronc trachéen donne deux rameaux au contact de la glande labiale : l'un de ceux-ci contourne le lobe postérieur de la glande prin- cipale et atteint le réservoir sur lequel il se ramifie en donnant un canal longitudinal qui suit le réservoir sur toute sa longueur et donne un grand nombre de rameaux, tandis que l'autre envoie un rameau à la glande principale et un second à la partie supé- rieure du réservoir. Les troncs trachéens sont extérieurement accolés à la basale de l'épithélium du réservoir, mais ils percent par endroit cette membrane, et se ramifient en fines trachées intracellulaires (fig. 25) que l'on peut suivre très longtemps dans le cytoplasma. La structure complexe de l'épithélium du réservoir permet donc de supposer que cet organe ne joue pas simplement un rôle passif; mais il est remarquable que sa structure le rapproche. Please note that these images are extr


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