. Comptes rendus des séances de la Société de biologie et de ses filiales. Biology. 157 son entrée dans l'Åil, avoir été parallèle à l'axe, et, puisque ce même rayon a dû affleurer le bord pupillaire, il s'ensuit que si l'on joint le point s au point m et que par ce dernier on mène une parallèle à l'axe, le foyer conjugué de a devra se trouver quelque part sur cette paral- éle. Ce foyer conjugué, devant se trouver aussi sur le prolongement de ala ligne qui joint le point a au centre de réfraction de l'Åil, ne pourr se trouver qu'à l'intersection des deux lignes, en A. Même rais
. Comptes rendus des séances de la Société de biologie et de ses filiales. Biology. 157 son entrée dans l'Åil, avoir été parallèle à l'axe, et, puisque ce même rayon a dû affleurer le bord pupillaire, il s'ensuit que si l'on joint le point s au point m et que par ce dernier on mène une parallèle à l'axe, le foyer conjugué de a devra se trouver quelque part sur cette paral- éle. Ce foyer conjugué, devant se trouver aussi sur le prolongement de ala ligne qui joint le point a au centre de réfraction de l'Åil, ne pourr se trouver qu'à l'intersection des deux lignes, en A. Même raisonne- ment pour A et a'. Les lignes m A, n A' étant parallèles, il est évident que A A' = mn, et cela quelle que soit la distance des points lumi- neux à l'Åil. Si ces points sont très-éloignés, les cercles de diffusion seront très-petits, puisque alors les axes secondaires A a, A' a' tendent à se confondre avec l'axe principal, mais cela ne change rien à la dé Donc, toutes les fois que deux points lumineux dessinent sur la rétine des cercles de diffusion qui se touchent, le diamètre de la pupille est précisément égal à l'écartement de ces points lum'\ neux, quelle que soit leur distance à l'Åil. Le fait était connu depuis longtemps pour deux points situés au foyer antérieur de l'Åil, et c'est là -dessus précisément que Robert Houdin avait basé la construction de son petit instrument pour la mesure du diamètre de la pupille. Il n'y a là qu'un cas particulier de la méthode générale que je viens de faire connaître et que ne paraît avoir soupçonné aucun des auteurs qui ont étudié la formation des images entopiiques produites par deux faisceaux de rayons homocentriques. (Brewster, Donders, Doncan, cités par Helmholtz. Optique physiologique, édition française, p. 223.) Mais le point précis auquel R,obert Houdin se croyait o
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