. Contes et nouvelles de Marguerite de Valois, reine de Navarre. Nouv. éd. ornée de 75 jolies gravures . sonmari infidèle. 46 XXXIX. Conte. Secret pour chasser leLutin. 53 ;BLE. j5o) XL. Conte. Un Seigneur fit mourir ère, ignorant la parenté. 60 Cinquième journée. 79. XLL. Conte. Etrange et nouvelle péni-tence donnée par un Cordelier confes-seur , à une jeune Demoiselle. 82. XLI1. Conte. La chaste persévérancedune jeune fille qui résista aux opi-niâtres poursuites dun des plus grands. Seigneurs de France. Agréable dénoue-ment pour la demoiselle. <)2 XLLII. Conte. Hypocrisie
. Contes et nouvelles de Marguerite de Valois, reine de Navarre. Nouv. éd. ornée de 75 jolies gravures . sonmari infidèle. 46 XXXIX. Conte. Secret pour chasser leLutin. 53 ;BLE. j5o) XL. Conte. Un Seigneur fit mourir ère, ignorant la parenté. 60 Cinquième journée. 79. XLL. Conte. Etrange et nouvelle péni-tence donnée par un Cordelier confes-seur , à une jeune Demoiselle. 82. XLI1. Conte. La chaste persévérancedune jeune fille qui résista aux opi-niâtres poursuites dun des plus grands. Seigneurs de France. Agréable dénoue-ment pour la demoiselle. <)2 XLLII. Conte. Hypocrisie dune Dainede Cour, découverte par le dénouementde ses amours quelle croyoit cacher. 121 XL1V. Conte. Deux amans qui jouirenthabilement de leurs amours , dont ledénouement lut heureux. 173 Tin de la Table du Tome cinquième. LHEPTAMÉRON, ou CONTES DE LA REINE DE NAVARRE,VI. CONTES ET NOUVELLES DE MARGUERITE DE VALOIS, REINE DE NAVARRE. NOUVELLE ÉDITION ORNEE DE SOIXANTE-QUINZE JOLIES GRAVURES. TOME SIXIEME. PARIS. DUPRAT-DUVERGER, rue ds§ GRANDS -AUGUSTIJVS , N° 21. M. DCCC. N_ . ^.^^ ? Alv . ^_skl*—- ^^iv A—IK A—H)\—A—AI—- ^~^i CONTES DE LA REINE DE NAVARRE. XLV CONTE. Un mari donnant les Innocens à saservante, trompe la simplicité de safemme. y avoit à Tours un homme des-prit et ruse, qui etoit tapissier defeu M. le duc dOrleans, fils du roiFrançois I. Quoirpie ce tapissier futvi. i 2 CONTES DE LA REINff demeuré sourd après une grande ma--îadie , il ne laissoil pas pour cela da-voir tout son esprit,, et den être sibien partage, quil ny avoit pointdhomme de son métiei plus rusé quelui. Quant aux autres affaires du-monde , vous verrez par ce cpie jevais vous conter , de quelle manièreil savoit sen retirer. Il avoit épouséune femme de bien et dhonneur, aveclaquelle il vivoit fort il craiguoit fort de lui dé-plaire , elle sétudioit fort à lui obéiren tout. Outre la grande amitié que lemari avoit pour
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