. Bulletin de la Société botanique de Genève. hées dès le début et saccusent au cours de leurévolution. Si nous prenons comme point de départ les cellules 1 Rosenberg, O. Embryologie von Zostera marina L., p. 8, 1901, Stockholm. Hannig, E. loc. cit., 1911. 308 BULLETIN DE LA SOCIÉTÉ BOTANIQUE DE GENÈVE (3) nourricières telles quelles se présentent lorsque, les division,somatiques étant accomplies dans larchéspore, ce dernier se montreconstitué de sept à neuf rangées de cellules polygonales, remarqua-bles par leur taille et leur énorme noyau, il suffira dindiquer lecontenu protoplasmique plus f


. Bulletin de la Société botanique de Genève. hées dès le début et saccusent au cours de leurévolution. Si nous prenons comme point de départ les cellules 1 Rosenberg, O. Embryologie von Zostera marina L., p. 8, 1901, Stockholm. Hannig, E. loc. cit., 1911. 308 BULLETIN DE LA SOCIÉTÉ BOTANIQUE DE GENÈVE (3) nourricières telles quelles se présentent lorsque, les division,somatiques étant accomplies dans larchéspore, ce dernier se montreconstitué de sept à neuf rangées de cellules polygonales, remarqua-bles par leur taille et leur énorme noyau, il suffira dindiquer lecontenu protoplasmique plus finement granuleux; dense et trèsvivement colorable des premières, ce qui les différencie dès le débutaussi des autres tissus environnants ; leurs noyaux de forme et degrosseur très variable, de 17 x 14 à 20 x 10 mu au maximum,mais toujours inférieure à celle des noyaux des tétrasporangessont pourvus chacun dun à plusieurs nucléoles inégaux. Ni à cemoment, ni jamais dans la suite, ils noffrent de phases caracté-. I — Arum maculatutn. Portion de lanthèébut du périplasmodium; les tétrasporan-ges entre lesquels sinsinuent les cellulesnourricières sécartent. ristiques de mitose. De sphériques, ils deviennent généralementovoïdes, allongés, reiniformes ou fusiformes. Quel intérêt cettedistinction peut-elle avoir pour nous ? Le singulier contrasteentre ces deux tissus qui savoisinnent mérite bien quelque détailscar il jette un certain jour sur la question de lorigine encore discutéeaujourdhui du périplasmodium. Il y a un peu plus dune trentaine dannées, Strasburger1 en aeu une idée nette, comme nous lavons vu par le passage cité tout àlheure, alors que dautres auteurs, dans des travaux bien pos- 1 Strasburger, E. loc. cit., 1882. (4) K. JACOBSON-PÂLEY. ARUM MACULATUM 309 térieurs, hésitent entre les diverses interprétations possibles :on nous dit du périplasmodium quil relèverait de la paroi, — desassises nourricière


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