. La Grande encyclopédie, inventaire raisonné des sciences, des lettres et des arts. e àgrande eau ou à la potasse, des murailles, des plafonds,des planchers, le changement des papiers de tenture et desfumigations à laide des vapeurs sulfureuses ou dernières sont do beaucoup préférables et leur emploiest aussi simple que peu coûteux en utilisant, comme lontconseillé Girard et Pabst, les cristaux des chambresde plomb. On se sert aussi avec succès de pulvérisations de so-lutions antiseptiques au bichlorure de mercure, de solutionsphéniquées, de chlorure de zinc, de crésyl, e


. La Grande encyclopédie, inventaire raisonné des sciences, des lettres et des arts. e àgrande eau ou à la potasse, des murailles, des plafonds,des planchers, le changement des papiers de tenture et desfumigations à laide des vapeurs sulfureuses ou dernières sont do beaucoup préférables et leur emploiest aussi simple que peu coûteux en utilisant, comme lontconseillé Girard et Pabst, les cristaux des chambresde plomb. On se sert aussi avec succès de pulvérisations de so-lutions antiseptiques au bichlorure de mercure, de solutionsphéniquées, de chlorure de zinc, de crésyl, etc. Lune desplus efficaces est formée de 0=r2o de bichlorure de mer-cure dissous dans un litre deau auquel on a ajouté 5 tartrique. Laddition de ce dernier acide a pourbut déviter toute coagulation des matières albuminoïdesqui protège les germes pathogènes contre laction du bichlo-rure de mercure. Lappareif créé par MM. Geneste, Hers-cher et Cie pour désinfecter, par pulvérisation dune solu-tion antiseptique — solution de bichlorure de mercure,. Fig. 1. — Appareil à désinfecter les parois par pulvéri-sation dune solution antiseptique (système Geneste,Herscher et O). par exemple, — les parois ou les objets ne pouvant êtresoumis à laction de la chaleur, est représenté fig. 1. Il secompose de deux récipients superposés et communiquantentre eux par un tube de petit diamètre ; le récipient infé-rieur contient la solution désinfectante. Une petite pompesert à comprimer de lair dans le récipient supérieur ;deux robinets, dont lun communique avec le réservoirdair et lautre avec le réservoir contenant le liquide, sontplacés sur le haut de lappareil. Sur ces robinets sadaptentdes tuyaux en caoutchouc qui communiquent avec lappareilpulvérisateur. Des essais faits par M. Richard, il résultequavec ce pulvérisateur on peut en une heure badigeonner7o à 200 m. q. de surface murale et quil faut compteren moyenne pour humecter les


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