Histoire de la révolution de 1848 . s jours de sa réu-nion, avait pourvu à sa Sireté en investissantson président du droit de requérir la forcearmée, voulut parer plus complètement encoreau danger dune invasion lumuUuaire, en ren-dant un décret qui interdisait lapport des pé-titions à sa barre. plot de Stouble et do mademoiselle Grouvcllc, lut suu)>;uim«de les avoir tniliis et, onlin, il peu près convaincu davoir,depuis celte i^ioque, fourni au gouvorncinent de Louis-lhi-lippo des renseignements sur le parti rcpubliouiii. (Voir leidt^bals du Pfoch de Uourgtt ot particulièrement In dispositi


Histoire de la révolution de 1848 . s jours de sa réu-nion, avait pourvu à sa Sireté en investissantson président du droit de requérir la forcearmée, voulut parer plus complètement encoreau danger dune invasion lumuUuaire, en ren-dant un décret qui interdisait lapport des pé-titions à sa barre. plot de Stouble et do mademoiselle Grouvcllc, lut suu)>;uim«de les avoir tniliis et, onlin, il peu près convaincu davoir,depuis celte i^ioque, fourni au gouvorncinent de Louis-lhi-lippo des renseignements sur le parti rcpubliouiii. (Voir leidt^bals du Pfoch de Uourgtt ot particulièrement In dispositiondu t(!moin Monnier. — Voir aussi, dnus les journaux damois de janvier 1852, la demande en grûfo quIIubcr nJrou»de l!oll:-lslo au prince Louis-Napoléon Bonaparte.) (1) H a Hé établi (afTaire Ilurdouin], quaprès lo IS mai,Iluber a continues do voir M. Marrast et quil a touoliii lixcents francs do la commission des ricompensoi nutionulc*,lur les socouridustiuiSs aux blessés du février. TROISIEME PARTIE ,•5)1. LÏDRU-KOLLIN. Cependant on sétait rassuré, parce quàplusieurs reprises ie jour annoncé pour unemanifestation sétait écoulé dans le plus grandcalme. Ainsi, le 9 mai, comme la douzièmelégion, commandée par M. Barbes, montait lagarde au palais Bourbon, on avait convoqué laonzième, pour déjouer le complot et pour at-tendre de pied ferme la pétition; mais per-sonne navait paru. Le 13 encore, une pro-cession douvriers, venue de la Bastille, auxcri6 de : Vive la Pologne! et signalée commetrès-dangereuse, sétait arrêtée à la place dela Madeleine, et, malgré la présence de M. Blanqui, elle avait remis paisiblement sapétition à M. Vavin, envoyé à sa rencontrepar lAssemblée. Dailleurs, ou comptait tou-jours sur les ateliers nationaux, dont M. EmileThomas vantait le bon esprit, et quil propo-sait de mêler, en cas de besoin, aux massespopulaires pour les envelopper et les détour-ner dune agression violente. Toutefois, le lendemain


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