. La Lecture. GUERRE 353 — Jadore Schumann ! — Très bien, Lisbeth. — Ah ! tu étais là, maman, fit-elle étonnée. — Entendant le piano, jesuis montée. Le frant^-ais est abandonné? — Un peu aujourdhui ! Ce beau soleil ma donné le désir de)uer à Mou-leur de laonne muique. — Vouslavez ravi,I a d e m 0 iîlle, jevousQ remercie,t si vous leoulez bien,DUS allonséprendreotre 1er on ? — Consi-éron s-la)mine ter-iinée;veux-i, maman?I — Si cela^ plaît, malie. — Seule-iient, Moneur seraitienaimablce se mettre u piano à son tour et de nous faire entendre de la musique Iraniiise. Tenez, choîsiVsez là dedans,


. La Lecture. GUERRE 353 — Jadore Schumann ! — Très bien, Lisbeth. — Ah ! tu étais là, maman, fit-elle étonnée. — Entendant le piano, jesuis montée. Le frant^-ais est abandonné? — Un peu aujourdhui ! Ce beau soleil ma donné le désir de)uer à Mou-leur de laonne muique. — Vouslavez ravi,I a d e m 0 iîlle, jevousQ remercie,t si vous leoulez bien,DUS allonséprendreotre 1er on ? — Consi-éron s-la)mine ter-iinée;veux-i, maman?I — Si cela^ plaît, malie. — Seule-iient, Moneur seraitienaimablce se mettre u piano à son tour et de nous faire entendre de la musique Iraniiise. Tenez, choîsiVsez là dedans, fit elle en me présentant uniieueil. Je nosais pas refuser; javais déjà eu roceasiou, le dinianelie,près diner, de uioutrer mon faible savoir. I Après (juel(|iieta Sif/norr, detradella, que je jouai avec ferveur pour me déiraiïrr do légM N. L. - 61 VMI. - 23. On lue [tria de ohanli>r. je dus mfxoouter. 354 LA LECTURE ILLUSTRÉE rement où mavaient jeté les charmes de M*- Lisbetli. Jeus toncar on me pria de chanter, et je dus mexécuter sans effort, enip>^moi même par lampleur de ce morceau religieux si touchant. — Que vous dites bien. Monsieur! firent ensemble la mère et 1;fille. Jétais ^êné, exténué, singulièrement impressionné maintenant — Qui^le musique! ajouta M* Schriinier. (onnaissez voulhistoire de ce malheureux Stradella? Et M Lisl)eth me regardait bien en face. IomI agrandi, cheichant à lire ma pen>ée, ma réponse, a\aiit (jue ma i\ leidonnée. Javouai sans feinte mon ignorance. — Cest un roman, fit elle vivement. Je ne puis y songer saiêtre profondément émue. | La figure animée, les yeux expressifs, franchement tournrvers l(hs miens, comme ]ioni- mieux, faire pénétrer en moi liphases douloureuses de cette histoire, elle me raconta les amou jde Stradella avec la jeunes femme dun seigneur vénitie


Size: 1420px × 1760px
Photo credit: © The Reading Room / Alamy / Afripics
License: Licensed
Model Released: No

Keywords: ., bookcentury1800, bookdecade1880, bookpublisherparis, bookyear1887