. Annales de la Société royale zoologique et malacologique de Belgique. Zoology; Mollusks. ANNALES, XLIX (l913). 67 60-1. — Sphserium Boissyi (Desh.). PI. I. thaw. Figuré de nouveau sur la planche LXII de V Iconographie (suppl., t. Il) et sur la Planche I de cet Appendice, pour remplacer les figures défectueuses du tome I. 62e Genre : LIBITINA Schum, 1817. (= Trapezium Mégerle, /ton Humphrey). Les espèces parisiennes rapportées à ce Genre sont caractérisées, outre leur forme oblongue et leur sinus réduit à une très courte inflexion de la ligne palléale, Fig. 68. — Charnière de Libitina parisie
. Annales de la Société royale zoologique et malacologique de Belgique. Zoology; Mollusks. ANNALES, XLIX (l913). 67 60-1. — Sphserium Boissyi (Desh.). PI. I. thaw. Figuré de nouveau sur la planche LXII de V Iconographie (suppl., t. Il) et sur la Planche I de cet Appendice, pour remplacer les figures défectueuses du tome I. 62e Genre : LIBITINA Schum, 1817. (= Trapezium Mégerle, /ton Humphrey). Les espèces parisiennes rapportées à ce Genre sont caractérisées, outre leur forme oblongue et leur sinus réduit à une très courte inflexion de la ligne palléale, Fig. 68. — Charnière de Libitina parisiensis Desh. lut. par leur charnière étroite et longue : 1 très proéminente, faiblement bifide et peu épaisse, perpendiculairement dressée sous le crochet; 3a atrophiée ou plutôt complè- tement confondue avec le bord; 3b très longuement bilobée en deux minces gradins successifs ; PI à peine visible à l'extrémité de ce nymphe longue et aplatie; 2a mince, séparée du bord par une excavation curviligne qui reçoit le bord opposé, ainsi qu'on peut s'en assurer sur les échantillons valves ; 2b triédrique, très profondément et inégalement bifide, le lobe antérieur plus petit; 4b mince, nettement séparée de la nymphe par une profonde rainure ; PII peu proéminente et cependant très nette. 63e Genre: CORALLIOPHAGA Blainv., 1824. L'interprétation que j'ai donnée de la charnière (1886, Cat. ill., I, p. 146) n'est conforme aux résultats des re- cherches ontogéniques de Félix Bernard qui a démontré qu'il n'y a pas de véritables dents cardinales, mais seulement des lamelles latérales antérieures, AI, AIII, AU, AIV, juxtaposés comme des cardinales, plus ou moins épaisses, parfois atrophiées, par suite des habitudes cavicoles de l'animal; PII est à peine visible, tandis que PI est plus saillante, et que, vis-à-vis d'elle, le bord fait une élévation qui simule parfois une seconde lamelle Fig. 69. — Charnière de Coralliophag
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