. Contribution à l'histoire naturelle des bryozoaires ectoproctes marins. Bryozoaires. n)7 â CylindrÅciiim dilatalum, et (ig. 17 = Crisia denticulala), et sur les coupes transversales (PI. VII, fig-. 15= Ãrisia denliciilala), sous la forme d'une fine membrane, sur les deux faces de laquelle reposent des noyaux cellulaires faisant légèrement hernie à la surface. A l'aide d"assez forts grossissements (obj. F, ocul. 2 ou 4 de Zeiss), on constate que la structure de la gaine n'est plus aussi simple qu'elle le paraissait lout d'abord. On y dislingue très aisé- ment une membrane anhisle, su
. Contribution à l'histoire naturelle des bryozoaires ectoproctes marins. Bryozoaires. n)7 â CylindrÅciiim dilatalum, et (ig. 17 = Crisia denticulala), et sur les coupes transversales (PI. VII, fig-. 15= Ãrisia denliciilala), sous la forme d'une fine membrane, sur les deux faces de laquelle reposent des noyaux cellulaires faisant légèrement hernie à la surface. A l'aide d"assez forts grossissements (obj. F, ocul. 2 ou 4 de Zeiss), on constate que la structure de la gaine n'est plus aussi simple qu'elle le paraissait lout d'abord. On y dislingue très aisé- ment une membrane anhisle, sur chacune des faces de laquelle repose une couche d'éléments cellulaires (PI. VI, fig. 2.). L'une de ces deux couches {egé), extérieure par rapport à la cavité générale du bryozoïde, mais intérieure par rapport à la cavité même de la gaine, est constituée par une mince zone de protoplasme fonda- mental dans lequel se montrent de distance en distance des noyaux ^i^^" y^^~\ ^^\ ^-X cellulaires ; c'est elle que l'on dési- gne habituellement sous le nom d'épithélium exlerne de la gaine lenlaculaire. Les limites cellulaires y font défaut et il faut recourir aux imprégnations sur les espèces trans- parentes, pour déterminer la forme des éléments qui composent cet épithélium. La figure 28 du texte Fig. 28. - EpiihéUum externe de la représente uuc partie de l'épilhé- gaine lenlaculaire île Memiîranipora MLosA iimprégnaiion). Hum extcrne de la gaine lentacu- laire d'un polypide de Memlirani- pora pilosa traité par le nitrate d'argent ; c'est un épithé pavi- menteux dont les cellules ont un contour polygonal assez régulier. La couche cellulaire interne (PI. \'I, fig. 2, egij, celle qui baigne directement dans le liquide de la cavité générale et qui pourrait être qualifiée d'externe par rapport à la cavité de la gaine tentacu- laire (le polypide
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