. Poësies . moitié*Mon cœur avec le tien partageLa peine dé ton efclavage,Ainfi que les juftes dèfinQue nourrit chez toi fefpéranceDe ton heureufe délivrance ,Et du prompt recoud des plaifirc; K H I4S P O E S t E S D e leur haleine bienfaifante,Bientôt les Zéphyrs agiflàntsBriferont la chaîne pefanteQui tient tes membres impuiflànt& Q ii a n d la nature renaiflànteRecommence tous fes travaux,Pourroit-elle être moins puiflànceSur ton corps que fur tes OrmeauxDéjà la fève vivifie,Et ton Tilleul & tonjafmin,JDéja tout va reprendre vieDans ton voluptueux le Chantre du TempleDont tu
. Poësies . moitié*Mon cœur avec le tien partageLa peine dé ton efclavage,Ainfi que les juftes dèfinQue nourrit chez toi fefpéranceDe ton heureufe délivrance ,Et du prompt recoud des plaifirc; K H I4S P O E S t E S D e leur haleine bienfaifante,Bientôt les Zéphyrs agiflàntsBriferont la chaîne pefanteQui tient tes membres impuiflànt& Q ii a n d la nature renaiflànteRecommence tous fes travaux,Pourroit-elle être moins puiflànceSur ton corps que fur tes OrmeauxDéjà la fève vivifie,Et ton Tilleul & tonjafmin,JDéja tout va reprendre vieDans ton voluptueux le Chantre du TempleDont tu furpafTesle talent,Nous ty verrons, a fon exemple ?Nous y peindre le fentiment. Tantôt fur la Lyre dHoraceNous goûterons fous ton treillage de Mi Mancenot. 149 Une féduifante Chanfon ; Tantôt cherchant un frais ombrage, Et fur celle dAnacréon, Tu nous toucheras avec grâceUne favante oifiveté. Par cette route toujours fùre,Allons fur les pas dEpicureCoûter la fage volupté.. Kiij 15,0 Poésies RÉFLEXIONS, MORALITÉS. E fes plaifirs un fexe eft comptable envers lautre ;On ny peut renoncer quillé bonheur neft pas uniquement le nôtre. Sen abftenir abïblument; Par le plus indifcret ferment, Ceft ftipuler les droits dun autre Sans le moindre confentement. AUTRE. E crains mille fois moins la mortQue je neuflè craint lexiftence,5i du fein du néant javois prévu le fort{Quaux malheureux humains prépare leur naiflàncç. n e M. Ma n g e n o t. 151 11 1 ? n m 1 1 * m » 1 1111 1 - AUTRE. *3 ITEtre bienfaifanc ne peut être nuifible, Je napperçois rien de terribleDans ce que les Cagots mannoncent fur mon pendant cent mille ans je fus heureux poflîble,Je ferai cent mille ans heureux après ma j——a«MiiiWMBiMiiMt^miiBiwMnnwmwiiiiiiiiii un, » ? 1 11 ? 1 i. » 1 ?? » mu ? ?? — AUTRE. » Acheminer au monument,Cefi: retourner dans le fein de fon père ;On y doit exifter auffi paifiblementQuon exifta dans le f
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