Ouvrages dramatiques : précédés et suivis de toutes les pièces qui leur sont relatives . * %D^ Âid^ I I i^Êa^^r=a» il -7rJ^teW^-« 1% iHg», aess: «-A^tjSfty^A^a»^; \m\. ...y 1VK5S .*UJ *ï(3# I ^ (335) -i^ A MADAME LA MARQUISEDE PRIE. V. Ous , qui pofTédez la beauté ,Sans être vaine ni coquette,Et lextrême vivacité,Sans être jamais indifcrere :Vous , à qui donnèrent les dîeUxTant de lumières efprit jufte, gracieux,Solide dans le férieux,Et charmant dans les bagatelles ;Souffrez quon préfente à vos yeuxLaventure dun téméraire,Qui perd ce quil aime le sêtre vanté de trop p
Ouvrages dramatiques : précédés et suivis de toutes les pièces qui leur sont relatives . * %D^ Âid^ I I i^Êa^^r=a» il -7rJ^teW^-« 1% iHg», aess: «-A^tjSfty^A^a»^; \m\. ...y 1VK5S .*UJ *ï(3# I ^ (335) -i^ A MADAME LA MARQUISEDE PRIE. V. Ous , qui pofTédez la beauté ,Sans être vaine ni coquette,Et lextrême vivacité,Sans être jamais indifcrere :Vous , à qui donnèrent les dîeUxTant de lumières efprit jufte, gracieux,Solide dans le férieux,Et charmant dans les bagatelles ;Souffrez quon préfente à vos yeuxLaventure dun téméraire,Qui perd ce quil aime le sêtre vanté de trop plaire. Si lhéroïne de la pièce,De Prie, eût eu votre beauté.On excuferait la faibleiTeQuil eut de sêtre un peu vanté.Quel amant ne ferait tentéDe parler de telle raaî un excès de vanité,Ou par un excès de tendrefïe! rf^ ; ^^fTWtit^&^ <!m^% llQI^LUL,jsasssisr;^ .....m^ ^^^^é f ACTEURS. E U P H E MI E. DAMIS. MORTENSE. TRASIMON, CLITANDRE. NERINE. P A S Q U IN. Plufieurs laquais de Damîs, riNDISCRET, IJINDIS CHE T Jccnc z. ^!iiiiiiiiii!iii!ijiiit],jiiiiiyiiipjiji!i!iiiJMJ^yii!^^ /vn cœur > =r|^,i|l^,)i,llllll|n,,^iil|fl^|.NilliilliriiiiiiiiiHiiiiiiiiiiiiiiiiiiiHiniiiiiiinTTnT;T * -4»^ ( 337 ) -^ ^ L I N D I S C R £ T, COMÉDIE. S C E H E , DAMIS; NE 17 P lî E M I £.Attendez pas, mon fils, quavec un ton fevère Je déploie à vos yeux lautorité de mère. Toujours prête à me rendre à vos juftes raifons, je vous donne un confeil, & non pas des leçons. Ceft mon cœur qui vous parle, & mon expérience Fait que ce cœur pour vous fe trouble par avance. Depuis deux mois au plus vous êtes à la cour • Vous ne connaifTez pas ce dangereux féjour. Sur un nouveau venu le courtifan perfide Avec malignité jette un regard avide, Pénètre fes défauts , & dès le premier jour,I Sans pitié le condamne , & même fans Craignez de ces meiïieurs la malice Le premier pas,
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