. Bulletin biologique de la France et de la Belgique. Biology; Natural history. CH. '. mononucléée ; la cellule issue de la spore contient de huit à seize noyaux, nombre correspondant à celui des sporidies (fig'. 29 a) ; ces dernières se forment par bourgeoimement du filament germinateur (fig. 29 a). Ici les seules sporidies se fusionnent et ébau- chent ainsi la génération binucléée (fig. 29 c-d). De ce (|iii j)i'écède, il résulte que les Uslilafiinécs se rattachent étroitement aux liasidiomf/Cf'le.'i. Achiptées à la vie parasi- taire, elles ont beaucoup simplifié leur
. Bulletin biologique de la France et de la Belgique. Biology; Natural history. CH. '. mononucléée ; la cellule issue de la spore contient de huit à seize noyaux, nombre correspondant à celui des sporidies (fig'. 29 a) ; ces dernières se forment par bourgeoimement du filament germinateur (fig. 29 a). Ici les seules sporidies se fusionnent et ébau- chent ainsi la génération binucléée (fig. 29 c-d). De ce (|iii j)i'écède, il résulte que les Uslilafiinécs se rattachent étroitement aux liasidiomf/Cf'le.'i. Achiptées à la vie parasi- taire, elles ont beaucoup simplifié leur '^'?'"?',~.^,^ *^^^'^*^''^'?'^' cycle évolutif. Pourtant l'existence d'une liitil (lu lillelra (selon " , . â -i , . ^^ Kavitschek\ génération de noyaux isoles et d une autre, où ces noyaux se sont accouplés par paires, est coniiiHiue aux deux groupes. Chez les uns et chez les autres toute trace d'organes sexuels a disparu. dernier vestige d'un organe accessoire d'une ancienne sexualité, lause, si typique pour les BasidiomyciHes^ analogue aux crochets des AscomijctHcs, s'est encore réduite chez les UstUaginfies. De tout ce qui précède, il résulte encore que les Ascoiin/- cl'tes, les Urécinécs, les limidiami/cètea et les Vstilaginêes, quelles que soient les différences de leurs organes végétatifs, se relient étroitement h»s uns aux antres. C'est leur sexualité qui en fournit le trait d union. l*arnii ces quatre groupes, les Ascojnycètefi possèdent les structures sexuelles les plus variées. C'est en raison même de cette diversité que nous leur avons attribué le caractère de groupe ancestral. Ces variations multi- ples dans la structure des organes sexuels n'est pourtant pas inextricaljk^ couime l'ont prétendu certains auteurs. Peu diffé- renciées chez les types primitifs, ces structures se compliquent insensiblement et se rattaclient par toutes
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