. Médecine domestique, ou traité complet des moyens de se conserver en Santé, de guérir & de prévenir les maladies, par la régime & les remedes simples-- . Quelquefois, après que V inflammation de la gorgefaut faire eftdiffipée, les oAz/zi^c^ rcfteut TOuflées, & devien- lorinu après , ^ c» o _ queiinflam- ncnt dures & calleufts. Il neft pas facile dy remé- mation delà ^iQr^ gr fouveut OU augmente le danger, en réité- lîpee y les ^^^^ lappUcation de remèdes Jlimulants. Tout ce glandes ref- quil V a à faite en cette occafion, eft de tenir fixées ^° chaudement la partie, & dordonner au malade de
. Médecine domestique, ou traité complet des moyens de se conserver en Santé, de guérir & de prévenir les maladies, par la régime & les remedes simples-- . Quelquefois, après que V inflammation de la gorgefaut faire eftdiffipée, les oAz/zi^c^ rcfteut TOuflées, & devien- lorinu après , ^ c» o _ queiinflam- ncnt dures & calleufts. Il neft pas facile dy remé- mation delà ^iQr^ gr fouveut OU augmente le danger, en réité- lîpee y les ^^^^ lappUcation de remèdes Jlimulants. Tout ce glandes ref- quil V a à faite en cette occafion, eft de tenir fixées ^° chaudement la partie, & dordonner au malade de fe gargarifer deux fois le jour avec une décoction de figues j acidulée avec quelques gouttes Aélixir^ ou defpric de vitriol (j). (7) Czs. fymptomes perfîftent, fur-tour lorfque la Ma-ladie a été mal traitée. Il nell jamais arrivé, au moinsje lignore, dit M. Tissot, que Vefquinancie inflamma-toire, bieti conduite, fe terminât par la gangrené, oupar le durciffemcnt àz^ glandes ; mais jai été témoin quelun & lautre arrivent, quand on veut forcer k^fueursdans les commencements, par des remèdes é i T)u Rhume. 543 CHAPITRE XVIH. Du Rhume, des diverfcs efpeces de Toux^& de la Coqueluche. §. I. Du Rhume. ^TOus avons déjà fait obferver que les rhumes\ font occaiionnés par [a. JuppreJJion de la tranf-piration. ( Voyez première Partie , Chap. XI, §. 111,depuis la page 31 2 jufquà celle 316.) Nous avonstâché den indiquer les caufes \ nous ne les rap-pellerons pas ici. Nous ne nous occuperons pasnon plus à rapporter tous les ^\?ièxenisfympioinesqui les caratîérifent, parce quils font générale-ment connus. Mais nous croyons devoir faire obferver, quil Idée qniifaut regarder prefque tous les rhumes comme .des j ^ !*eipeces de jievres ^ qui ne difrerent de quelques-unes , que nous venons de traiter, fur-tout de lapleuréjie _, de la fluxion de poitrine & d© Vcjqui-nancie, que par leur peu dintenl^té (ï). (i) Il ncft qucftion i
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