. Études de phonétique espagnole . n décrivant la courbe dune fricative. Néanmoinssur le palais artificiel locclusion se fait toujours. Les tracés du souffle de D, E, F présentent une variétéimportante de ce son. Au commencement de chitlo(fig. 142)- il y a une explosion forte; celle-ci nest pas r. Cf. p. 40. 2. Cf. aussi muchacho (fig. 146). — 149 — suivie dune aftrication sourde ni de la chute du levier quiannonce une voyelle, mais les vibrations laryngiennescommencent à la fin de lexplosion. Il y a donc une frica-tive sonore qui lie lexplosion à la voyelle qui suit. Lepalais artificiel montr
. Études de phonétique espagnole . n décrivant la courbe dune fricative. Néanmoinssur le palais artificiel locclusion se fait toujours. Les tracés du souffle de D, E, F présentent une variétéimportante de ce son. Au commencement de chitlo(fig. 142)- il y a une explosion forte; celle-ci nest pas r. Cf. p. 40. 2. Cf. aussi muchacho (fig. 146). — 149 — suivie dune aftrication sourde ni de la chute du levier quiannonce une voyelle, mais les vibrations laryngiennescommencent à la fin de lexplosion. Il y a donc une frica-tive sonore qui lie lexplosion à la voyelle qui suit. Lepalais artificiel montre quil y a une articulation médio-pahuale qui ne diffère en rien de celles de A, B et G. — 150 — CHAPITRE VIILES NASALES m Larticulation principale d;// se fait aux lèvres. La fer-meture est complète, et lair qui passe par le larvnx sortpar le nez, puisque le voile du palais sabaisse. Dans lafigure 19 il a été démontré que la pression labiale est plusgrande pour m que pour/) ou /, et on notera que la ferme-. I. eiiipe-, F. 2. tuipe-, 143- ture persiste moins longtemps. La langue reste plate, oupeu sen faut, dans la bouche, ce qui forme une chambre I. Et sil y a occlusion il faut quil y ait explosion,comme pour les occlusives simples, il faut aussi que cetteexplosion ou ouverture des lèvres soit considérée commefaisant partie de la consomne. Donc la distinction faite parM. Araujo (op. cil., p. 42) est inutile, ou même trom-peuse. — 151 — buccale rcsonnatrice, et donne au son nasal sa qualitépropre. Dans certains cas la langue sélève vers le point darticu-lation dune.;/, semblable à celui de la rigure 143, tandisque les lèvres conservent larticulation d///. Sans doute
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