Archive image from page 297 of Dictionnaire de physiologie (1913). Dictionnaire de physiologie . dictionnairedeph09rich Year: 1913 288 INSECTES. en arrière de la section, et, si l'on nÃglige quelques exceptions dont l'explication paraît assez simple, la coordination des mouvements entre ces deux rÃgions cesse d'exister (expÃriences de Du(;Ãs sur la Mante, de Yersin sur le Grillon, etc.). Un Grillon, par exemple, dont les centres cÃplialiques ne seront plus en communi- cation par les connectifs avec les centres thoraciques se fixera avec ses mandibules sur un morceau de pain pour le mange
Archive image from page 297 of Dictionnaire de physiologie (1913). Dictionnaire de physiologie . dictionnairedeph09rich Year: 1913 288 INSECTES. en arrière de la section, et, si l'on nÃglige quelques exceptions dont l'explication paraît assez simple, la coordination des mouvements entre ces deux rÃgions cesse d'exister (expÃriences de Du(;Ãs sur la Mante, de Yersin sur le Grillon, etc.). Un Grillon, par exemple, dont les centres cÃplialiques ne seront plus en communi- cation par les connectifs avec les centres thoraciques se fixera avec ses mandibules sur un morceau de pain pour le manger; mais le thorax continuant sa marche en avant, il en rÃsultera une culbute (Yersin). hien que pouvant s'opÃrer dans les deux sons d'un bout de la chaîne à l'autre, la transmission des rÃactions nerveuses est nÃanmoins un peu plus facile d'avant en arrière que d'arrière en avant (Dlt.ès). '{h â Transmission par les commissures [sen transversal). â Elle peut s'opÃrer, soit au moyen des libres reliant directement les deux ganglions d'une même paire, soit au moyen de fibres passant d'un cAtà à l'autre pour se joindre aux connectifs longitudinaux du côtà opposà et gagner le ganglion d'un autre segment (croise- ments dÃmontrÃs anatomiquement par Viallanes et Binet). DuGÃs a donnà de cette transmission transversale une dÃmon- stration expÃrimentale sur VAcridium Uneola. Son expÃrience consiste à couper un seul des connectifs longitudinaux entre la première paire de pattes et la deuxième : on constate alors que toute relation entre la tète et les membres rt'-pondant au côtà coupà n'est pas dt'-truite, comme elle le serait chez un VertÃbrà par la section d'une nmitià de la moelle Ãpinière; mais il y a seulement ralentissement dans les communications Ãtablies : si l'on pince les antennes, par exemple, llnsecle se dÃfend d'abord avec la grande patte Ãpineuse (y patte) du côtà sain ; peu de temps après, il empl
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