Annales de géographie . uite commun avec la Tardes. Cette observationlégitime une double induction : le travail des eaux courantes est récentdans cette partie de laire de drainage du Cher; les versants du hautCher nont pas fourni au cours deau, pour lusure de son lit, autantquà la Tardes, pour le même objet, ses propres versants. Aussi biencette dernière induction est-elle du même ordre que celle tirée du i. G. de la Noë et Emm. de Makgekie, ouvr. cité, p. G. de la Noë et Emm. de Margerie, ouvr. cité, p. 63. LE HAUT CHER, SA VALLÉE ET SON RÉGIME. Ki.{ rapproqhéniérit des deux profils lon


Annales de géographie . uite commun avec la Tardes. Cette observationlégitime une double induction : le travail des eaux courantes est récentdans cette partie de laire de drainage du Cher; les versants du hautCher nont pas fourni au cours deau, pour lusure de son lit, autantquà la Tardes, pour le même objet, ses propres versants. Aussi biencette dernière induction est-elle du même ordre que celle tirée du i. G. de la Noë et Emm. de Makgekie, ouvr. cité, p. G. de la Noë et Emm. de Margerie, ouvr. cité, p. 63. LE HAUT CHER, SA VALLÉE ET SON RÉGIME. Ki.{ rapproqhéniérit des deux profils longitudinaux, Lorsquon les super-pose dans un même plan vertical. c) Passé l<i confluent de la Tardes, à quelques kilomètres avantMontluçon, le profil Longitudinal du Cher présente une rupture de pente assez brusque. Vers lavai, il se rapproche de plus en plus delhorizontale avec continuité. Vers lamont, la ponte, très forte, estirrégulière : dans le thalweg se succèdent des seuils rocheux non. 17 2 Kig. 3 II. — Profil du Cher. Lérosion est encore à ses débuts; relativement au profil I, lo profil II est plus jeune. Échelle des longueurs, 1 : 100 000. — Échelle des hauteurs, 1 : 1000. encore érodés; tantôt les eaux, entre deux gués, sentassent, avec uneépaisseur de 7 à 8 mètres, dans des sortes de conques; tantôt ellesglissent sur un plan fortement incliné. On a reproduit, à grandeéchelle, ces deux aspects du thalweg. Lun deux est emprunté authalweg de la Tardes, entre le kilomètre 5,4 et le kilomètre 1°2,comptés à partir de la source (fig. 3 I); il apparaît que, aidées par lesproduits de désagrégation1, les eaux ont déjà mordu sur le granité et 1. Sur limportance de la quantité des matériaux agissant sur un même pointdu lit, voir : G. de la Noë et de Mahgehie, ouvr. cité, p. 56. ;o fUi GÉOGRAPHIE RÉGIONALE. buriné à grands traits la première esquisse «lun profil dé (fig. 3II) est empru


Size: 1453px × 1719px
Photo credit: © The Reading Room / Alamy / Afripics
License: Licensed
Model Released: No

Keywords: ., bookcentury1800, bookdecade1890, bookidanna, booksubjectgeography