. Le Monde moderne. à demi elletourna la tète : â « Calherinette, ô ma sn-ur, â commence la première, toi 1 «Christine et fière Catherine â entonnèrent une chanson : â Sen réjouirent tous étaient suir la pelouse. â aussi tous ceux .qui étaicnl venus sur les vaisseau.^ ! » Les poissons dans leau et les fauvesau bois sen réjouirent. Sen rejouirent aussi les oiseaux sauvaftes â qui volaient autour des navires. Mais nul nen eut plus de plaisir quele roi lui-même ; il en riait de tout soncÅur : â¢â¢ Mainlenanl vous pouvez toutes, fières demoiselles. â \ous en aller en paix :


. Le Monde moderne. à demi elletourna la tète : â « Calherinette, ô ma sn-ur, â commence la première, toi 1 «Christine et fière Catherine â entonnèrent une chanson : â Sen réjouirent tous étaient suir la pelouse. â aussi tous ceux .qui étaicnl venus sur les vaisseau.^ ! » Les poissons dans leau et les fauvesau bois sen réjouirent. Sen rejouirent aussi les oiseaux sauvaftes â qui volaient autour des navires. Mais nul nen eut plus de plaisir quele roi lui-même ; il en riait de tout soncÅur : â¢â¢ Mainlenanl vous pouvez toutes, fières demoiselles. â \ous en aller en paix : â hormis petite Christine el iière Catherine, âqui vont rester ici ! » Petite Christine pleure el se lamente :se tordant les mains, elle maudit lheureoù elle sest éloignée de sa mère, et leschansons quelle a apprises, aussi ladanse : (.était le roi dos ^â endes. â il caresse lademoiselle sur sa joue : â <â Nayez souci,petite Christine : â \ous serez ma bicn- aimée! â¢â . LKS CHANSONS DKN LK VEM ICNT pi-i!il lui bout iiclie Kntcndez bien, petite Christine 1 âserez ma reine. â Fière (vur. â sera là pour \ous ser\ir. > Cétait le i-oi du pays vende, â ilpetite Christine dans ses bras : âdonna une couronne dor â et aussi le«le reine. MainleuanI pelile Christine â esl aude toutes ses peines : â elle poi-|e uneronne dor et le tilie tie reine â et elle eiau.\ cotés du roi. Comme les jeunes Danoises dans leurschansons de danse, les fillettes, aux îlesFéroé et en Islande, ont conservé, ellesaussi, mais dans leurs jeux, le souvenirde pirates non moins redoutés, les Fri-sons : Les Frisons ont mis leurs rames à leau, âils veulent dériver; â la .jeune fille pleiue etse tord les mains : â « Je ne pas allermourir au pays frison ! » Elle les prie dattendre : son père ades châteaux ; bien sûr il ne la laisserapas emmener. « .le nai


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