. Les malheurs de Sophie . Mëhée dàtoir été mé-chante. Paul, je tiëâttre (|uê je ne fé^orfimenceraipas. » La porte sentrouvrit tout doucement, et la têtede Paul parut. Il regarda Sophie avec méfiance : <c Tti hës plu§ ëft cëlèt^e? Bien ti-ai? lui dit-il. ~ Oh tiôftl ndh; biiBft sûr, ëhëf Pàtil^ fépèhdltSophie; je stiis bien tHstë dàtoit* été si irié-éhahtë. » Paul éuVrit totît â feit la poirte, et Sophie, levantles yèùi, Vit sén Vissigé të^l éëérêlié; elle poussauni cri et se jeta aU eeh dfe Pëul. & Oh! tnéh pëilvrè Pâulj éefÉMe je lai Ml mal!ëbhMhé je ld griffé! ^rië fs^rë p^ur tè p^^fl —


. Les malheurs de Sophie . Mëhée dàtoir été mé-chante. Paul, je tiëâttre (|uê je ne fé^orfimenceraipas. » La porte sentrouvrit tout doucement, et la têtede Paul parut. Il regarda Sophie avec méfiance : <c Tti hës plu§ ëft cëlèt^e? Bien ti-ai? lui dit-il. ~ Oh tiôftl ndh; biiBft sûr, ëhëf Pàtil^ fépèhdltSophie; je stiis bien tHstë dàtoit* été si irié-éhahtë. » Paul éuVrit totît â feit la poirte, et Sophie, levantles yèùi, Vit sén Vissigé të^l éëérêlié; elle poussauni cri et se jeta aU eeh dfe Pëul. & Oh! tnéh pëilvrè Pâulj éefÉMe je lai Ml mal!ëbhMhé je ld griffé! ^rië fs^rë p^ur tè p^^fl — Ce ne sera rien, répdidtt Paul, céJa pàsâ^^à LES MALHEURS UE SOPHIE 129 fout seuL Gherèbéôs ahê cuVëlté et dé rèàti pourme laver. Quand lé sang sera parti, il tlj àtirà plusrien du tout. » Sophie courut avec Pàùl chercher une curettepleine deau ; mais il éiit beau tremper sori visàgëdans la cuvette, flotter et essuyer, les marqués dés. griiïes restaient toujours sur la joue. Sophie étaitdésolée. « Que va dire maman? dit-elle. Elle sera en co-lère contre moi et elle me punira. » Paul, qui était très bon, se désolait aussi; il tiesavait quimaginer pour ne pas faire gronder So-phie. (( Je ne peux pas dire que je suis tombé dans lesépinesj dit-il, parde que ce ne serait pas si,... attends donc; tu vas voir. » 130 LES MALHEURS DE SOPHIE Et voilà Paul qui part en courant ; Sophie le suit ;ils entrent dans le petit bois près de la maison ;Paul se dirige vers un buisson de houx, se jettededans et se roule de manière à avoir le visagepiqué et écorché par les pointes des feuilles. Il serelève plus écorché quauparavant. Lorsque Sophie voit ce pauvre visage tout sai-gnant, elle se désole, elle pleure. « Cest moi, dit-elle, qui suis cause de tout ceque tu souffres, mon pauvre Paul! Cest pour queje ne sois pas punie que tu técorches plus encoreque je ne lavais fait dan


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