. Le Monde moderne. and, X, (Le), par A. Da Cunha, X, du mois (Les), par Jean Repaire, X, 140, 282, 424, 572, 709, pratique (La), par Victor de Clèvca, X, 142, 284, 428, 574, 715, , par A. Da Cunha, X, 414. Table des auteurs et des artistes, X, 857. FIN DU DIXIEME VOLUME(Tome II de 1899.) LÉditeur-Gérant : A. QOAKTIS. t V ^ > aV\ ^. FIAT LUX I IIop ! Les chevaux sVnlevè Desrieux, les coudes à la por-tière, regardait de tous ses yeux le pavsde lumière qui souvrait devant lui dansles splendeurs du matin. A droite, à i;auche, des
. Le Monde moderne. and, X, (Le), par A. Da Cunha, X, du mois (Les), par Jean Repaire, X, 140, 282, 424, 572, 709, pratique (La), par Victor de Clèvca, X, 142, 284, 428, 574, 715, , par A. Da Cunha, X, 414. Table des auteurs et des artistes, X, 857. FIN DU DIXIEME VOLUME(Tome II de 1899.) LÉditeur-Gérant : A. QOAKTIS. t V ^ > aV\ ^. FIAT LUX I IIop ! Les chevaux sVnlevè Desrieux, les coudes à la por-tière, regardait de tous ses yeux le pavsde lumière qui souvrait devant lui dansles splendeurs du matin. A droite, à i;auche, des champs deroses, des bois de mimosas aux feuil-lafçes de fine dentelle, aux grappes dilne savait quel or épanoui en fleurs. Desorangers embaumaient, étalaient leursfruits roux, la chair satinée et blanchede leurs pétales. Une foret de pins vi-brait, sous le vent, comme un orchestre où domineraient des harpes é côte dtizur sétendait, sallongeaitparesseusement, engourdie de béatitude,dans le doux accablement des parfums,des rayons. Au loin, la mer sélargissait,se perdait, finissait par toucher au fir-mament, lumineuse comme lui, commelui d un bleu invraisemblable. Le jeune homme ne mesurait plus nitemps, ni distance. Ebloui, ladmirationen arrêt devant la grandeur de ce spec-tacle, il aurait été ainsi, sans sen dou-ter, au bout du monde. La voiture sét
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