Revue de l'art chrétien . te esquisse par où com-mence le livre qui men a donné les élé-ments. Cest une sorte de définition deSteinle de lharmonie des couleurs : quelqueslignes tracées par lui dans un album decroquis. Jai cherché à donner de la penséedu maître, la traduction la plus exacte pos-sible. eûtoarD tjon éteinte* 103 « Le peintre nobtient pas lharmonie descouleurs en les rompant dans leur tonalitéparticulière ; il lobtient, en les laissant agirles unes sur les autres selon leur valeurpropre ; le lien qui rétablit lharmonie entreelles, cest la lumière. «Si, pour vivre en harmonie, les
Revue de l'art chrétien . te esquisse par où com-mence le livre qui men a donné les élé-ments. Cest une sorte de définition deSteinle de lharmonie des couleurs : quelqueslignes tracées par lui dans un album decroquis. Jai cherché à donner de la penséedu maître, la traduction la plus exacte pos-sible. eûtoarD tjon éteinte* 103 « Le peintre nobtient pas lharmonie descouleurs en les rompant dans leur tonalitéparticulière ; il lobtient, en les laissant agirles unes sur les autres selon leur valeurpropre ; le lien qui rétablit lharmonie entreelles, cest la lumière. «Si, pour vivre en harmonie, les hommesvenaient à briser leur individualité, la vieprendrait une teinte grise et sombre, comme si elle apparaissait en couleurs le fait quils conservent leur indivi-dualité et leur caractère propre quils saventmême utiliser par les contrastes, les hommesdoivent chercher la véritable harmoniedans des sphères plus élevées. Ils la trou-veront en Dieu et dans son Église. » Jules \^-A \^A Jt^Yik A^V^ A^>M* *^* A^^ A^^ K^YU à^-* .it^Vt. ^^y)^ A^^Vk. j^. m n I : riTTTTTTTriIITirTTIIlIlITr -:!.- li^égltse lie ïloubres (Cote dOr). -:}:- rTTTi t ll?yTTTTT^Tr^TTTTTTIIII^II^^[^ïI^TTTrTTr^^YTTITITrIT^^IT^ITT^^Tr^IT^TYIIIIrIJ^ffIIITITT^-TTTTT^T-r^ ?^t A ^S^ ^S:^ ^;^ ^i^ *^f^ -^S * ^1^-* ^oiî-* ^i^f **> ^1^^ ^A^-^ ^i^^ ^Aiî^ *iAlf 3i^ OUVRES est une com-mune du canton deGenlis, arrondissementde Dijon,à 14 kilom. auSud du chef-lieu, dansla plaine qui sépandunie jusquà la Saône etau delà. Les ducs de Bourgogne y possé-daient autrefois un château, une de leursrésidences favorites, dont il ne subsiste quedes vestiges insignifiants. Daprès Georges
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