. Rapport de la mission d'études de la maladie du sommeil au Congo français 1906-1908. ée par une étroite lèvre en forme delanguette (pi. II, fig. 4, O). Lorifice buccal est donc chez les larves de glossines nonpoint central, mais anléro-dorsal. Cette disposition intéressante a sa raison dêtre dansla position même de lorifice des glandes nourricières, qui débouche dorsalement danslutérus, juste au niveau de la bouche de la larve. Celle-ci na quun léger relèvementde la tête à fournir, pour appliquer son orifice buccal contre la papille où vient sour-dre la sécrétion. Evolution de la région st
. Rapport de la mission d'études de la maladie du sommeil au Congo français 1906-1908. ée par une étroite lèvre en forme delanguette (pi. II, fig. 4, O). Lorifice buccal est donc chez les larves de glossines nonpoint central, mais anléro-dorsal. Cette disposition intéressante a sa raison dêtre dansla position même de lorifice des glandes nourricières, qui débouche dorsalement danslutérus, juste au niveau de la bouche de la larve. Celle-ci na quun léger relèvementde la tête à fournir, pour appliquer son orifice buccal contre la papille où vient sour-dre la sécrétion. Evolution de la région stigmatifère pendant la vie intra-utérine. — La dispositionofTerte par le segment post-anal et ses callosités est plus intéressante encore à considé-rer chez les jeunes larves, et (1904) a déjà légèrement attiré lattention sur lesvariations importantes que subisssnt ces parties avec lâge et les stades dévolutionlarvaires. Il a constaté que. dans un premier stade où la dimension des larves est infé- 458 LA MALADIE DU SOMMEIL AU CONGO FRANÇAIS. li: rieure à 3 mm., les protubérances caudales sont molles, de couleur blanche comme lereste du corps et séparées par un espace relativement un deuxième stade, où les larves atteignent 3 mm. à3 mm. 1/3, cet espace intermédiaire se réduit beaucoup,devient même plus étroit que chez la larve en fin de crois-sance et les protubérances commencent à noircir. Enfin, àpartir de 3 mm. 1/3, la disposition définitive se trouve réalisée. Les choses se passent cependant dune façon un peu pluscompliquée que na pu le définir lauteur anglais. Chez une jeune larve de Gl. tachinoïdes, prise directementdans lœuf au moment de léclosion, nous navons trouvénulle trace de protubérance (fig. 101). Le segment stigmati-fère est simplement arrondi à sa partie postérieure où cepen-dant, par transparence, on peut noter des traces dépaisis-sements hypodermiques. Les deux gros troncs t
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