Oeuvres, dédiées à duc d'Orléans . M B R F D H O M E K E,- l$f Ofe imaginer que la Parque ,Démentant Tes févéres loix,Permet à la fatale barqueDe me remettre aux bords François leur fobre & modefte langue ,>Crois que de plus dune harans^ueJabrégerois mes longs combats 3Mes Héros dignes de leur gloire >Impatiens de la viéloire ,Vaincroient^ & ne fe lolieroient pas,. Du faux men-eilleux de la Fabî^Mes Vers fe fercient garantis,Et jy tiendrois au vrai-femblable:Les Dieux mêmes Vuleain la main trop fçavants;,;Par une gravure mouvante,Norner oit pas un bouclier
Oeuvres, dédiées à duc d'Orléans . M B R F D H O M E K E,- l$f Ofe imaginer que la Parque ,Démentant Tes févéres loix,Permet à la fatale barqueDe me remettre aux bords François leur fobre & modefte langue ,>Crois que de plus dune harans^ueJabrégerois mes longs combats 3Mes Héros dignes de leur gloire >Impatiens de la viéloire ,Vaincroient^ & ne fe lolieroient pas,. Du faux men-eilleux de la Fabî^Mes Vers fe fercient garantis,Et jy tiendrois au vrai-femblable:Les Dieux mêmes Vuleain la main trop fçavants;,;Par une gravure mouvante,Norner oit pas un bouclier,DAchille, par une autre image animeroit le courage,Itfçauroit le c\ p- »ij8 . L-Ombre dHomè Tu mentends 5 Pluton me rappelle s^LOmbre difparcît à ces és dune ardeur-nouvellerPeignons les Dieux & les Héros»-Je vois au fein de la Nature,Lidée invariable 8c lutile beau, du ère ma laifld fa Mufe,Et û mon orgueil ne mabule,»]b vais faire ce quil eût fait».. 1-5^ LE DEUIL D E LA FRANCE. ODE. PR I \- c E , (a) que de fes mains facréss^A formé la Religion ,Loin de toi les douleurs outrées yFruits amers de la yeux pleuroient encor un Père,»Et des jours dline Epoufe chercTu viens de voir trancher le fil :Mais de la Foi fublime Elevé,Dans linftant qui te les enlève>•Tu vois la fin de leur exil. ka) Le commencement de Ine , êc aareflc a ïcufîcette ode a é:*. (ait après la j le Dauphin , avant eue la^luocc-de Madame la Dauphi- r France leut perdu. i6o Le Deuil de la pRANCBr Lun & lautre a fourni fa courfsPrefcrite par lordre éternel 5Tous deux rappelles à leur fource,Dieu leur ouvre un fein notre mort neft trop les jours que le Ciel nous compteurA Tes yeux font alfez remplis ;Il mefure nos deftinées,Non par le nombre des années,Mais par les devoirs accomplis* % Ainiî lAuteur de ta naifTancevLamour de lEmpire François,Fut donné par la Pro
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