L'estampe satirique et la caricature en France au 18e siècle; préfde Maurice Tourneux . is., une scène inliluléeBacclional et divertissements de Paris et Le vrai portrait du chat Ihtpug fjui lui a laissé par testament /.» frnm s par mois. Il ne faut|)as oublier certaiius e-lampes comiiie celle (|ui illustre en I7.!ll une 1. liililiotliique Nationale, Caliinel ilos ostainpes, Tf 17. 2. Hililiollirquc , Cabinil des est;inipes, Tf 4. ET LA CAKICATUliK KN KKANCK 55 brocliuro de Coquelet, prociireur à Luon : Eloyc ,pfintrrarabe. Une noie nianuscrile dit que c.(;tte estam[)e lait al
L'estampe satirique et la caricature en France au 18e siècle; préfde Maurice Tourneux . is., une scène inliluléeBacclional et divertissements de Paris et Le vrai portrait du chat Ihtpug fjui lui a laissé par testament /.» frnm s par mois. Il ne faut|)as oublier certaiius e-lampes comiiie celle (|ui illustre en I7.!ll une 1. liililiotliique Nationale, Caliinel ilos ostainpes, Tf 17. 2. Hililiollirquc , Cabinil des est;inipes, Tf 4. ET LA CAKICATUliK KN KKANCK 55 brocliuro de Coquelet, prociireur à Luon : Eloyc ,pfintrrarabe. Une noie nianuscrile dit que c.(;tte estam[)e lait allusion à ungrand personnage du royaume qui a eu bien raison de ne pas laprendre pour lui et la conservée longtemps sur sa table. On pourrait composer toute une liste de ces cabieis dexpressiondont les auteurs ont été oubliés, comme (Muirles-Tliomas Naudel,Jacques et François Sablet, Mérard et Angrand qui excellaient. : TuiiiMiM[i: riES ahts m o u i: r m: .?< m- carnaval df. . GRAVURE ATTRIBUÉE A GILLOT(Cabinet des eâtaiiipes, Paris-j dans la composition de ces portraits à double tète destinés à êtreregardés dans deux sens opposés, comme cette image du DocteurQui/ira qui, retournée, donne la représentation dun âne. Les mascarai/es datelier. — Lironie caricaturiste se manifesteau xv-Hi* siècle, non seulement dans ces recueils fantaisistes oudans les croquis de la vie sociale, à la manière de Charles-Germainde Saint-Aubin, mais dans des esquisses de fêtes et mascarades. Beaucoup de ces fêtes ont été très spirituellement dessinées parPierre (Jean-Baptisle-Marie), né en 1704, mort on 1789. Cétait unélève de Naloire qui en obtint le grand prix de peinture et par- 1. M- ilr (iranges de Surgères, Les Sahkl, 188S. M LESÏAMIH SATirilQLE ET LA CAIUCATUFtE EN FKANCE lit pour rilalie, à lAcadûmie de France. Pendant son séjour àRome, il samuse à représent
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