. Essai sur la psycho-physiologie des monstres humains : un anencéphale - un xiphopage . re plus superficielle;la pose respiratoire est plus longue et saccadée, etla phase expiratoire a lieu quelquefois en tracés ci-joints complètent nos explications. Il ya lieu de mettre ici en évidence quelques points, à LA VIE BIOLOGIQUE 139 f Fig. 27. — Tracé respiratoire du xiphopage. A, Liao-Toun-Chen. B, Liao-Sienne-Chen. — On voit sur ce tracéla dépendance des deux respirations et, en outre, tandis quechez le sujet de gauche il existe une inspiration profonde enB, elle nest pas sensible ch


. Essai sur la psycho-physiologie des monstres humains : un anencéphale - un xiphopage . re plus superficielle;la pose respiratoire est plus longue et saccadée, etla phase expiratoire a lieu quelquefois en tracés ci-joints complètent nos explications. Il ya lieu de mettre ici en évidence quelques points, à LA VIE BIOLOGIQUE 139 f Fig. 27. — Tracé respiratoire du xiphopage. A, Liao-Toun-Chen. B, Liao-Sienne-Chen. — On voit sur ce tracéla dépendance des deux respirations et, en outre, tandis quechez le sujet de gauche il existe une inspiration profonde enB, elle nest pas sensible chez le droit ; une légère inspira-tion soutenue chez le sujet droit, en A, provoque des trou-bles sensibles dans sa respiration, troubles à peine visibleschez le sujet gauche. Les tracés ont été pris dans des condi-tions comparables ; mêmes tambours, plumes de longueurégale. Il faut lire le tracé de gauche à droite. l4û PSYCHO-PHYSIOLOGIE DES MONSTRES HUMAINS notre avis, dune importance capitale sur les moda-lités de lévolution des deux respirations (fig. 28).. Fig. 28. — Les deux tracés respiratoires superposés. A. Liao-Toun-Chen ; B. Liao-Sienne-Chen. Il résulte lévidence dela discordance psycho-physique des sujets, qui existaient danscette expérience individuellement : ils étaient occupés ailleurs,chacun poursuivant sa manière dêtre physiologique. — Ilfaut lire le tracé de gauche à droite. — Les sujets en regar-daient les faces et ne suivaient pas .lévolution des tracés. 1° Quoique dissemblables les respirations chan-gent de forme, et au bout de quelque temps revêtentune physionomie particulière commune, les rythmesprésentant pour ainsi dire une certaine harmoniedans de nouvelles phases respiratoires. Il y auraitde la sorte un automatisme biologique, qui se déve-lopperait sans que le sujet en ait conscience (fig. 29). 2° Si lon provoque des modifications perturba-trices chez un sujet, le second ne subit aucuneinfluence dans c


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