Revue de l'art chrétien . quon considère une section du fût plusvoisine de la base. Ensuite, la superstruc-ture, relativement peu considérable, ne suffîtpas à elle seule à bien assujettir la colonnedans son aplomb, ou du moins, lui laisseune importance telle quil convient de luidonner une stabilité propre, réelle et appa-rente par la forme tronconique du fû, au contraire, la colonne porte desarceaux équilibrant leurs poussées sur sonchapiteau, le sommet du support est invaria-blement fixé ; les poussées actives se ré-duisent à des composantes verticales, et laforme cylindrique du fût es


Revue de l'art chrétien . quon considère une section du fût plusvoisine de la base. Ensuite, la superstruc-ture, relativement peu considérable, ne suffîtpas à elle seule à bien assujettir la colonnedans son aplomb, ou du moins, lui laisseune importance telle quil convient de luidonner une stabilité propre, réelle et appa-rente par la forme tronconique du fû, au contraire, la colonne porte desarceaux équilibrant leurs poussées sur sonchapiteau, le sommet du support est invaria-blement fixé ; les poussées actives se ré-duisent à des composantes verticales, et laforme cylindrique du fût est celle qui répondau mode de sollicitation. Il ne faut donc pas voir dans cette forme la preuve dunsentiment moins délicat de la ligne, mais lasolution logique dun problème nouveau. Le fût roman est le plus souvent il est exceptionnellement décoré,même avec une certaine richesse ; chosepeu rationnelle, car le décor enlève laspectde robustesse qui convient au membre qui VJIL iiliiiH. Il Ml.


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