. Le Monde moderne. Sivol, une ascension scientifiquetlms laquelle ces deux derniers périrent asphixiès à unealtitude de 8 000 mètres.— M. Kdouardo Lopez Romano,élu récomment président de la République duPérou, est installé solennellement à Lima. — M. An-ghelitch, ancien pW-fet de »t7. (.^erbio), impliquedans laffaire de lattentat contre le roi Milan,se pond dans sa prison avec le drap de Sun Ht. — ABelgrade, ouverture da procè-s des inculpée dans latten-tat contre le roi Milan. Lacto daccusation dit quil dune nninlére indubitable que les radicaux cher-chaient i\ renverser lét
. Le Monde moderne. Sivol, une ascension scientifiquetlms laquelle ces deux derniers périrent asphixiès à unealtitude de 8 000 mètres.— M. Kdouardo Lopez Romano,élu récomment président de la République duPérou, est installé solennellement à Lima. — M. An-ghelitch, ancien pW-fet de »t7. (.^erbio), impliquedans laffaire de lattentat contre le roi Milan,se pond dans sa prison avec le drap de Sun Ht. — ABelgrade, ouverture da procè-s des inculpée dans latten-tat contre le roi Milan. Lacto daccusation dit quil dune nninlére indubitable que les radicaux cher-chaient i\ renverser létat do choses existant en Serbie etque oost pour y réussir quiU on arrivèrent finalementà lattentat.— A Carlsmlic, lempereur Guillaume,répondant au bourgmositre, exprime s;i satisfaetlon auxtroupes quil vient de passer en revue et ajoute : avantque la théorie do la paix unlverî*ello reçoive «on applica-tion, bien des stëotcs sécouleront cnoorc. En attendant, MÉMENTO ENCYCLOPÉDIQUE. mes priixces et larmée quils commandent sont la pro-tection ta plus sûre de la paix pour lempire allemand.— La mission française envoyée à Oportopour étudier et coiiiltuttre la poste commence ses pre-mières ^. — La situation est tnujonrs trèstendue entre lAngleterre et le Transvaal. Dansune note expédiée à Pretoria, le gouvernement anglaissomme le président Kriiger de faire savoir à bref délaisil accepte les conditions que lAngleterre veut luiimpcfâer au sujet de la naturalisation des Uitlanders etautres questions pendantes. 9. — Le conseil de guerre de Rennes entendla plaidoirie de M- Démange, qui demande lacquitte-ment de Dreyfus. M« Labori renonce à la parole. Lecommissaire du gouvernement maintient ses ^ Démange réplique en disant : a Vous nélèverez jamaisà la hauteur dmie preuve les possibilités et les pré-somptions qui ont été apportées icL B Dreyfns afllrmeson innocence. Après une heure et demie d
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