Memoires littéraires, contenant des reflexions sur l'origine des nations . fujet, un Livre intituléMedicina Danica inquilinis Remediisproprios morbos fanans ; maismalheu-reufement pour le Public, ce Livrea péri dans lincendie de i6jo*Voici comme il en parle dans fonTraité de incend. BibïliotK p. 69.» Je me propofois dêtre utile auoo Peuple plutôt quaux Savans ,oo quoique je nigftoraffe point que» les Apoticaires men fçauroientoo mauvais gré. Dieu a créé pouroo chaque maladie des Remèdesoo dont il efl au pouvoir dun cha-09 cun de fe fervir , fans quil foit» befoin de recourir aux Apoti-» caires
Memoires littéraires, contenant des reflexions sur l'origine des nations . fujet, un Livre intituléMedicina Danica inquilinis Remediisproprios morbos fanans ; maismalheu-reufement pour le Public, ce Livrea péri dans lincendie de i6jo*Voici comme il en parle dans fonTraité de incend. BibïliotK p. 69.» Je me propofois dêtre utile auoo Peuple plutôt quaux Savans ,oo quoique je nigftoraffe point que» les Apoticaires men fçauroientoo mauvais gré. Dieu a créé pouroo chaque maladie des Remèdesoo dont il efl au pouvoir dun cha-09 cun de fe fervir , fans quil foit» befoin de recourir aux Apoti-» caires ou aux Médecins , ni deoo faire de grandes dépenfes. Jai35 guéri moi - même une Paraîyfie» du côté gauche , avec de 1efprit» de Malt dans lequel javois fait30 bouillir des Rofes de Provins ; LITTERAIRES. 20 J y> des Pleurélîes épidémiques avec» une fimple déco&ion dorge ; des» Scorbuts avec une déco&ion de * Creffon deau dans de la vieille * Bière , Se des Hydropifies avec*> les feuilles les plus tendres du» Sureau. *>. I v| 204 M Ê M 0 I R E S OBSERVATIONS Et Expériences Chymlquesj parOlausBorrichius. la rraye TO IE N na été plus communTeinture J]y pendant un très-long-tempsneft point (lue ^a teinture dargent, fi Ton examine la chofe avec atten-tion , on ne trouvera rien de plusIncertain ; car cette couleur bleuequi plaît fi fort à loeil neft pointnaturelle, & ne vient que des fub-ftances quon a mêlées avec ce mé-tal , car largent le plus pur ne don-ne rien de tel. Cette erreur provientde ce quon a cru jufquici que lar-gent après la fulmination, comme©n lappelle , ou après quil a reçufon éclat dans la coupelle, ne con-tient plus rien dimpur ni dhétéro-gène, en quoi lon fe trompe ; caril conferve toujours quelques légè-res féculences 3 dont il a peine à fe Littéraires. 20 £dépouiller après plufieurs fufionsréitérées ; mais lorfquil en efl unefois débarraffé, il ne teint jamaisni en b
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