. La théorie moderne des phénomènes physiques radioactivité, ions, électrons : . arge et la masse de chacun de ces électrons ainsique leur vitesse (^). (1). — Voici ces deux relations : Q = Ne, W = 2 OÙ Q est la quantité totale délectricité transportée, N le nombre délec-trons, et W, leur énergie cinétique. (2) Lélimination de N entre les trois équations conduit aux deuxrelations suivantes : _ 2W -QHpe 2W m QH^^ qui servent à calculer c et — c)G MASSE, VITESSE ET CHARGE DES ELECTRONS Cette méthode donna les premiers résultats dignesde confiance. En changeant le gaz raréfié dans lequelpî


. La théorie moderne des phénomènes physiques radioactivité, ions, électrons : . arge et la masse de chacun de ces électrons ainsique leur vitesse (^). (1). — Voici ces deux relations : Q = Ne, W = 2 OÙ Q est la quantité totale délectricité transportée, N le nombre délec-trons, et W, leur énergie cinétique. (2) Lélimination de N entre les trois équations conduit aux deuxrelations suivantes : _ 2W -QHpe 2W m QH^^ qui servent à calculer c et — c)G MASSE, VITESSE ET CHARGE DES ELECTRONS Cette méthode donna les premiers résultats dignesde confiance. En changeant le gaz raréfié dans lequelpîenaient naissance les rayons cathodiques, (air,hydrogène, anydride carbonique), on obtint pour lerapport entre la charge et la masse des électrons,des nombres très peu différents. Dans chaque cas,la valeur trouvée indiquait clairement c[ue si chaqueélectron possède une charge électrique égale à celledun ion dhydrogène, sa masse est, au contraire,de beaucoup inférieure à celle dun ion dhydrogè à la valeur trouvée pour la vitesse des. Fis. 16 électrons, elle est de beaucoup supérieure à lavitesse moléculaire des gaz : elle atteignait environun dixième de celle de la lumière. On doit encore à J,-J. Thomson () une autreméthode pour déterminer la vitesse des électronsconstituant les rayons cathodiques, méthode baséesur la déviation de ces rayons produitepar un champélectrique. Considérons les rayons cathodiques émanés delélectrode C (fig. 16), réduits à un mince faisceauau moyen de deux épais diaphragmes métalliquesA, B, reliés au sol et munis détroites fentes hori-zontales; si lon dispose sur le trajet de ce faisceau (1) Thomson. — Phil. Mag:, t. XLIV, jj. 293 (1897). METHODE DE THOMSON 97 deux plaques métalliques D, E, chargées délectri-cités opposées, les rayons cathodiques seront aprèsleur passage entre ces plaques, déviés de leurchemin rectiligne, car les électrons négatifs qui lesc


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