. La Grande encyclopédie, inventaire raisonné des sciences, des lettres et des arts. ectesvivent exclusivement sur lebord des mares, des étangs,des rivières, où on les trouve,souvent en grand nombre,posés sur les plantes aqua-tiques (roseaux, nénuphars,sagittaires, plantain deau,trèfle deau, etc.), dans lin-térieur desquelles ont vécu leurs larves. Ils se répar- Donauia BagiUariœ dans les deux genres Donacia Fabr. et llœmonia Mcg. (V. ce mot). Le pre-mier est caractérisé par les tarses qui sont dilatés, toinen-teux en dessous, avec leur troisième article bilobé et leurdernier arti
. La Grande encyclopédie, inventaire raisonné des sciences, des lettres et des arts. ectesvivent exclusivement sur lebord des mares, des étangs,des rivières, où on les trouve,souvent en grand nombre,posés sur les plantes aqua-tiques (roseaux, nénuphars,sagittaires, plantain deau,trèfle deau, etc.), dans lin-térieur desquelles ont vécu leurs larves. Ils se répar- Donauia BagiUariœ dans les deux genres Donacia Fabr. et llœmonia Mcg. (V. ce mot). Le pre-mier est caractérisé par les tarses qui sont dilatés, toinen-teux en dessous, avec leur troisième article bilobé et leurdernier article plus court que les précédents réunis. Sesespèces, assez nombreuses, sont surtout répandues dans lesrégions froides et tempérées de lhémisphère boréal. Le/). sagittariœ Fabr., que nous figurons, vit sur la Flèchedeau (Sagittaria Sagittœ/olia L); ses métamorphosesont élé décrites par Perris (Ann. Soc. enl. de France,1848, p. 33). Ed. Lef. DONACOSPIZA (Ornith.). Le genre Donacospiza de Ca-banis {Mus. Hist., 1850, t. I, p. 136) correspond exacte-. — 883 D0NAC0SP1ZA - DONALDSON ment au genre Coryphospixa de Gray {List Gen. of Birds,18Î0, p. 47), dont le nom, quoique moins généralementusité, doit être préféré, en vertu de la loi de priorité. Ilrenferme deux espères de Fringillidés (V. re mot), laDonacospiza ou Coryphospiza atbifrons V. et la Dona-cospiza ou Coryphospiza melanotis Tem. dont lun setrouve depuis le Brésil méridional jusque dans la Répu-blique argentine, tandis que lautre parait eontiné dans lesud du Brésil, et qui se reconnaissent à leur bec conique etassez effilé, à leur queue formée de pennes étagées, tailléesen pointe à lextrémité et à leur plumage dun brun striéde noirâtre sur les parties supérieures du corps, avec ousans taches jaunes sur les épaules et dun fauve plus oumoins varié de noir sur les parties inférieures. E. Oust. Bibl. : Temminck, PL Col., 1824, t. III, pi. lit, fis. 1. —J. G
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