. Dictionnaire de pomologie : contenant l'histoire, la description, la figure des fruits anciens et des fruits modernes les plus généralement connus et cultivés. Fruit. DUC [duchesse mar] 111. recouverte en partie de taches et de marbrures fauves, surtout aux extrémités du fruit. â Chair : blanche, demi-fine, fondante, compacte, juteuse, légèrement granuleuse auprès des loges. â Eau : très-abondante et très-sucrée, aigrelette et douée d'un délicieux parfum faiblement anisé. Maturité. â Commen- Poire Duchesse de Mars. â Deuxième Type. cément de novembre , mais se prolongeant ju


. Dictionnaire de pomologie : contenant l'histoire, la description, la figure des fruits anciens et des fruits modernes les plus généralement connus et cultivés. Fruit. DUC [duchesse mar] 111. recouverte en partie de taches et de marbrures fauves, surtout aux extrémités du fruit. â Chair : blanche, demi-fine, fondante, compacte, juteuse, légèrement granuleuse auprès des loges. â Eau : très-abondante et très-sucrée, aigrelette et douée d'un délicieux parfum faiblement anisé. Maturité. â Commen- Poire Duchesse de Mars. â Deuxième Type. cément de novembre , mais se prolongeant jus- qu'en février et parfois même jusqu'en mars. Qualité. â Première. Historique. â En 1845 Prévost décrivit cette variété dans la Pomologie de la Seine-Inférieure (pa- ge 143 ), et l'attribua aux Belges. « Quoique je me « sois procuré ce poirier « â disait-il â dans l'un « de nos départements de « l'Ouest, il est bien connu « en Belgique et pourrait « en être originaire » Cette opinion fut aussi, en 1852, celle de M. Laurent Jamin, pépiniériste à Bourg-la-Reine, près Paris, et même il précisa l'époque où ce fruit dut être importé chez nous : « Il vient de « Belgique â écrit-il â et son introduction date de 1834. » [Note sur l'arboriculture fruitière, insérée dans les Annales de la Société d'Horticulture de Paris, t. XLIII p. 312.) Enfin M. le professeur du Breuil se montrait également de cet avis, dans l'édition de son Cours d'arboriculture publiée en 1854 (t. II, page 569). Quant à moi ce poirier me paraît plutôt appartenir à la France ; l'Anjou même pourrait fort bien l'avoir vu naître, car il est répandu depuis longtemps déjà dans nos contrées. Du reste les Belges, loin d'en revendiquer l'obtention, professent au contraire, à son égard, le sentiment que je viens d'exprimer : « La


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