. Théâtre comique . aime !Non j^non. Z E M I R ! ne vois-tu pasQue je le dérobe au trépas ?Veux-tu le voir pirir toi-même. A L Llion , non , fron , non , je nirai pas. ( à part. )Et je tremble aulii pour moi- E T A Z o r; z E M I H E. Cher Ali ! mon père repofe :Ceiî le moment j condUiS mespas. ALI. Non , non , je nai garde : ( à pat. ) ât pjur caufe. Z E M I R E. De fon malheur je fuis la caufe. Je dois le fauver du trépas. non , non, je nirai pas. Z E M I R nas jamais aimé ion maître. A L LJç laime , i^elas ! il le fait bien. Z E^M I R laime? fliis le connoî


. Théâtre comique . aime !Non j^non. Z E M I R ! ne vois-tu pasQue je le dérobe au trépas ?Veux-tu le voir pirir toi-même. A L Llion , non , fron , non , je nirai pas. ( à part. )Et je tremble aulii pour moi- E T A Z o r; z E M I H E. Cher Ali ! mon père repofe :Ceiî le moment j condUiS mespas. ALI. Non , non , je nai garde : ( à pat. ) ât pjur caufe. Z E M I R E. De fon malheur je fuis la caufe. Je dois le fauver du trépas. non , non, je nirai pas. Z E M I R nas jamais aimé ion maître. A L LJç laime , i^elas ! il le fait bien. Z E^M I R laime? fliis le connoî temps nous prcfle. E M I R E. L nentends rien. Z E M I R tes genouxQue jembrafie. . A L de grâce !Levez-vous. (à part.)Ma foibleffe va me prendre. Z E M I R mes pleurs il faut te nous tardons , il eft perdu. ALI , a part. Je mattendris , je fuis rendu. même.( Le Théâtre change , & reprifente le Salon du Palais dAior. )Fin iii fécond A3e,. E P R E M A Z O R , fenURlILLE Fée, abrège ou ma vie ou ma peine!Tu mavcfis donné la beauté:De ^e don je fuis trop ûaité 5 i: ais COMÉDIE-BALLET. 17 Maïs ; héîas î efl-ce un crime à mériter ta haine ! Quexige de moi ta rigueur ?Sous ces traits tu veux que lon maime ,Et le charme efl détruit , ii, malgré ma laideur, Je puis toucher un jeune ccear ? Mais peux-tu lerpérer toi - même l Pour commander aux éiémens, Tu mas bien donné ta puiiTance ;Lamour efl au-dclTus de tes enchantemens. ! quel tourment dêtre fen- Jaimerai i mais puis je à mon un cœur fait pour la-mour ,Sans que jamais il foit poffibleDe fe voir aimer à fon tour !Je porte avec moi Tépouvanie ,Et je ne répands que beauté timide & tremblante,Salarme & senfuit devant ! quel tourment , bon père ,à qui je commandeDe me livrer fa fille , aura-i-illa rigueur tourMe faire aimer par Id contrainte?La haine obéit à la cr?in:e ?Lamour nobéit qu


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