. Études de phonétique espagnole . iio, 2. mo[rto]. 3. mo[mo]. G Fig. 12. et les deux de monio. Les ampoules montrent que Vo finalest un peu plus fermé que le tonique, mais je ne crois pasque la distinction se trouve là. Il semble plutôt que lachambre de résonance soit modifiée par la fermeture- deslèvres, accompagnée ou non de quelque changement de laposition de la langue. En effet, les tracés des mots solo, glo-ria, mono, amor accusent des changements très peu sen-sibles. Ils existent tout de même, ainsi quon peut le voirà la figure 13, où jai fait inscrire morboso et morboso
. Études de phonétique espagnole . iio, 2. mo[rto]. 3. mo[mo]. G Fig. 12. et les deux de monio. Les ampoules montrent que Vo finalest un peu plus fermé que le tonique, mais je ne crois pasque la distinction se trouve là. Il semble plutôt que lachambre de résonance soit modifiée par la fermeture- deslèvres, accompagnée ou non de quelque changement de laposition de la langue. En effet, les tracés des mots solo, glo-ria, mono, amor accusent des changements très peu sen-sibles. Ils existent tout de même, ainsi quon peut le voirà la figure 13, où jai fait inscrire morboso et morboso il ne se trouve que deux sortes do : les deuxpremiers sont plus ouverts que le dernier. Ces deuxvariétés, que jappellerais volontiers moyenne et fermée, I. Pour la série postérieure on place lampoule à lapartie postérieure de la bouche. Ainsi, plus le levier selève, plus le son est fermé. 21 sont celles quil paraît bon de distinguer. La série posté-rieure commencerait donc à o (moyen).. rb. kFig. 13. A la figure 7 on verra très bien le mouvement de reculde la langue dans cette série. Labaissement du levier pour0 du mot cuento montre que la langue ne se trouve plusdans la partie antérieure de la bouche. u La même figure (13) montre très bien la plus grandefermeture de la chambre de résonance pour ti. Dans cucit-rucho, trois variétés sont nettement accusées, la premièremoyenne, la deuxième fermée et la troisième ouverte .Ces nuances se montrent constamment dans mes autres I. La fin du mot subit linfluence dune prononciationlocale, faite sciemment. Le sujet est des Asturies, et dansce parler 0 final sidentifie presque avec //, comme le montretrès bien le tracé. Pour la figure 14 il a prononcé à la castil-lane, et 0 se fait voir distinctement. — 22 — expériences. Il semble donc nécessaire de distinguer troisvariétés de u. Elles apparaissent également dans le mouve-ment des lèvres. A la figure 14 (ampoule 2 entre les
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