Mariage de demain : [Dajan-Phinn] . « mer-ci » tout court, ou de décocher un petitsigne de tête bien sec, ou même dignorerlexistence du prélat. Est-on tenté de croire que le rince-bouche mérite son nom? i : euieusement,il se trouve toujours, à quelque tablevoisine, une belle dame tout ea dentelles se W Uil \GK DE DR \l I/.V et en diamai i np< i «i i bol le bout d i poui en • i fleurei en i n i ueilli t omme un < ta limite, i i haque foi i quil \\ ah la | aui repetite ?•«? débatti , - règle, un apitoiement dé«me nu- lui pinçait le i oeur et lui piquaitles yeux. Il aurait voulu se je!n


Mariage de demain : [Dajan-Phinn] . « mer-ci » tout court, ou de décocher un petitsigne de tête bien sec, ou même dignorerlexistence du prélat. Est-on tenté de croire que le rince-bouche mérite son nom? i : euieusement,il se trouve toujours, à quelque tablevoisine, une belle dame tout ea dentelles se W Uil \GK DE DR \l I/.V et en diamai i np< i «i i bol le bout d i poui en • i fleurei en i n i ueilli t omme un < ta limite, i i haque foi i quil \\ ah la | aui repetite ?•«? débatti , - règle, un apitoiement dé«me nu- lui pinçait le i oeur et lui piquaitles yeux. Il aurait voulu se je!noux de a feanne, lui demander pardonde la soumettre à l*épi eui e de œ u<souvent t omiqueSj qui tomberaient enpoussière si lon se pen< hait sur »uxpour les examiner, mais quil faut, hé-i raindre et respei ter, sous peine dese , puisque cest avec < es \ieillespierres de touche que Le inonde nous,i] précie. Heureusement, elle apportait à la tâ-che autant dalerte courage que de ii-. iblait 1*< i ne lui gâtaiI ; Et j ût il pa. tou ours près delle jlentoui le moin- dre h< . fond ;? rte m ? ontinuelle n< I elle pas salutaire ? de prot( i non quil étendait sur elle, le e qui la jetait vers lui; m b<lun a lautre. Pour quun amour soit durable, il fautquil soit soutenu par un autre infc«l1 W propre e, il lui faut une direction, un but Nest i e pa - l<cret des unions longues et solides? Nesont elli toujours rèali a deux êtres qui poursuivent une même iâ< lielivrent une même lutter La passionqui se nourrit uniquement de sa propresubstam e fait fusée, jaillit, éclate et r<-tombe, éteinte, sur elle même 1 andis quela tendresse guidée et soutenue par unidéal extérieur connaît la longue et pa-tiente croissance dun lierre au liane LEON PASSA PLUSIEURS HKURES PAR JOURAU LABORATOIRE DU MUSÉUM. II Jt^S OILA Jeanne parisienne, Jeanne^Av^ maîtresse de maison. Quoi ?cest pour elle ce nid moel-leux, ca


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