. Lettre de monseigneur Le Camus, evèque de La Rochelle et Saintes sur la formation ecclésiastique de ses séminaristes. ,;S. m — 8 — au Clergé de France, pour y lire la condamnation de ceque nous avions établi ? Or ce sont justement les termes decette lettre qui nous ont inspiré la partie de notre pro-gramme ayant traita cet enseignement scientifique. Faut-il croire que notre contradicteur a lu avec dautres yeuxque nous, ou pénétré avec une perspicacité qui nest pasla nôtre, cette importante direction pontificale? Jugeonsplutôt quil a lu trop vite. Cest la seule excuse quonpuisse admettre,
. Lettre de monseigneur Le Camus, evèque de La Rochelle et Saintes sur la formation ecclésiastique de ses séminaristes. ,;S. m — 8 — au Clergé de France, pour y lire la condamnation de ceque nous avions établi ? Or ce sont justement les termes decette lettre qui nous ont inspiré la partie de notre pro-gramme ayant traita cet enseignement scientifique. Faut-il croire que notre contradicteur a lu avec dautres yeuxque nous, ou pénétré avec une perspicacité qui nest pasla nôtre, cette importante direction pontificale? Jugeonsplutôt quil a lu trop vite. Cest la seule excuse quonpuisse admettre, quand il nous fait dire, un peu plusloin, que les saintes Écritures doivent être lobjet premierdes études du clergé, « parce que cest là le premier en-seignement divin et traditionnel ». Nous avions dit : « Leplus essentiel des enseignements est ainsi devenu le der-nier. Et cependant il était le premier de droit divin ettraditionnel. » Mettre un non-sens à la place de notreparole si nette et si vraie, cest tout au moins duneinadvertance regrettable. Au fond, comme on le voit, les deux ou trois
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