A travers Paris . - Blanche lui dit . Cest rasant - Un temps tou t à - Quand il suivait léqui- - Je ne le connaissais que - Si elle est de fentendre toujou page de Chambray, on le • Cest à moi, ma-t-elle dit, que le hommequejenaijair ais vu : amène- marche.,. trouvait à tous les carre- quon sache —Certainement, n ais fours traînant son cheval - Oui, autant là quail- > comment il est fait hez elle, il le ça va changer. par la Le fait est que, comme leurs! — Les femmes ont seules cesdé trouve qui en sportsman, il craignait tout EN SUIVANT


A travers Paris . - Blanche lui dit . Cest rasant - Un temps tou t à - Quand il suivait léqui- - Je ne le connaissais que - Si elle est de fentendre toujou page de Chambray, on le • Cest à moi, ma-t-elle dit, que le hommequejenaijair ais vu : amène- marche.,. trouvait à tous les carre- quon sache —Certainement, n ais fours traînant son cheval - Oui, autant là quail- > comment il est fait hez elle, il le ça va changer. par la Le fait est que, comme leurs! — Les femmes ont seules cesdé trouve qui en sportsman, il craignait tout EN SUIVANT LES OBSÈQUES {Siufe ei fin). - Il faisait toutes ses affaires lui- — Cependant il protc^geait les artis- — Belle fortunesansdoute, - Une perte pour nous autr s, rar - A la c impagne, M éta t un tort, étant donnée mais qui aurait besoin dun 1 sy - Pour quon parle de lui en même repos que m sa femme m les quartiers je vous assure quil y temps que de nous. sonfilsneconsemiiDntàlu.


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