Affaires de l'Angleterre et de l'Amérique . aucun particulier dans ces Co-lonies accufé dêtre un Tory ou ennemi dela caufe de la liberté Américaine, ne ferainiulté dans fa perfonne ou dans fes biens,ou molefté daucune autre manière , à moinsque les pourfuites contre lui ne foient fon-dées fur un ordre de ce Congrès ou de lAf-fembléCî Convention , Confeil ou Comitéde fureté de la Colonie ou du Comité dinC-peétion du diftrid où il réfide. Ordonné quecette réfolution nempcchera point darrêtertoute perfonne furprife en commettant quel-que aâ:ion deftruélive de la liberté Amé-ricaine ou juftement f
Affaires de l'Angleterre et de l'Amérique . aucun particulier dans ces Co-lonies accufé dêtre un Tory ou ennemi dela caufe de la liberté Américaine, ne ferainiulté dans fa perfonne ou dans fes biens,ou molefté daucune autre manière , à moinsque les pourfuites contre lui ne foient fon-dées fur un ordre de ce Congrès ou de lAf-fembléCî Convention , Confeil ou Comitéde fureté de la Colonie ou du Comité dinC-peétion du diftrid où il réfide. Ordonné quecette réfolution nempcchera point darrêtertoute perfonne furprife en commettant quel-que aâ:ion deftruélive de la liberté Amé-ricaine ou juftement fufpede du deifein decommettre cet aâe & de vouloir séchapper,&; damener cette perfonne devant lautoritéconvenable pour y être examinée & jugé Extrait des minutes, Charles Thompson, Secrétaire. Réfolution où font les Américains de défendreleur liberté» Extrait d*unèlettre de Philadelphie, adrefTéeà un Marchand de Londres, 09 Les Ûiçcès de nos Corfaires augmentent journellement ^:iM-. AFFAIRES DE LANGLETERaET DE LAMÉRIQUE. L E T T R E4 P^un Banquier de Londres, à M;***à AnverSé t)fe Londres le 10 Juillet 1778^ jVX ^ S tohjèâiures fe font vérifiées , Mon-lîeur , & vous avez appris larrivée des vaif-féaux lé Saratoga 6c rÊfpioni dans les portade Nantes & de Breft , au rems que je vousavois indiqué. Mon correlpondant ma en-voyé aufli-tôc tout ce quil a pu recueillir desexpéditions arrivées par ces vaiffeaux. Je^ MToms XL a i] Affaires DE lAngleterre ^eux point difféjrer un moment à vous en fairepaît» La prompte publicité que vous donnerezà ces intérefTantes nouvelles, ne peut quêtreinfiniment agréable à vos leâieurs, par laraiton du vif intérêt quils doivent prendreà une Nation qui regarde les François commefes frères , & dont le fuffrage unanime vientde ratifier des engagemens qui procurent àla France les plus folides de les plus glorieuxavantages. N,° !• Articles du Traité damitié & de com-^mer
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