. L'Abbe Constantin . LABBE CONSTANTIN — Je suis vraiment bien fâchée, monsieur, devous donner cette Le domestique vous Ils sont sur la banquette de devant. Elle avait le même accent que sa sœur, lesmêmes grands yeux noirs, riants et gais, et lesmêmes cheveux, — non pas rouges, — mais blondsavec des reflets dorés, où délicatement se jouait lalumière du soleil. Elle salua Jean avec un joli sou-rire, et celui-ci, ayant remis à Pauline le saladier dechicorée, sen alla chercher les deux petits sacs. Pendant ce temps, très ému, très troublé, labbéConstantin introduisait dans


. L'Abbe Constantin . LABBE CONSTANTIN — Je suis vraiment bien fâchée, monsieur, devous donner cette Le domestique vous Ils sont sur la banquette de devant. Elle avait le même accent que sa sœur, lesmêmes grands yeux noirs, riants et gais, et lesmêmes cheveux, — non pas rouges, — mais blondsavec des reflets dorés, où délicatement se jouait lalumière du soleil. Elle salua Jean avec un joli sou-rire, et celui-ci, ayant remis à Pauline le saladier dechicorée, sen alla chercher les deux petits sacs. Pendant ce temps, très ému, très troublé, labbéConstantin introduisait dans le presbytère la nou-velle châtelaine de


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