. Contribution à l'étude de la morphologie de l'armure génitale des insectes. Generative organs -- Insects. â 184 longitudinal (Fig. 28, v et Fig. 31, e) qui sert à assujettir d'une façon particulière deux autres pièces de l'aiguillon, les soies piquantes. Ces saillies dépassent même antérieurement la massue de la gouttière lamellaire, se continuent par des pièces chitinisées libres et divergent comme des arcs (Fig. 28, r) dans une direction antéro-supérieure pour se souder avec l'extrémité de plaques chitinisées allongées intra-abdo- minales (Fig. 28, o), les plaques oblongue
. Contribution à l'étude de la morphologie de l'armure génitale des insectes. Generative organs -- Insects. â 184 longitudinal (Fig. 28, v et Fig. 31, e) qui sert à assujettir d'une façon particulière deux autres pièces de l'aiguillon, les soies piquantes. Ces saillies dépassent même antérieurement la massue de la gouttière lamellaire, se continuent par des pièces chitinisées libres et divergent comme des arcs (Fig. 28, r) dans une direction antéro-supérieure pour se souder avec l'extrémité de plaques chitinisées allongées intra-abdo- minales (Fig. 28, o), les plaques oblongues. Au point le plus prononcé de leur courbure, ces arcs sont armés d'une foule de petits piquants insérés au fond d'une légère dépression et non représentés sur la Fig. 28 ; ils s'articulent avec des prolongements coniques latéro-antérieurs (Fig. 28, q) de la massue par l'intermédiaire d'une simple lamelle membraneuse (Fig. 28, b) qui s'étend le long de leur face concave. Deux autres pièces qui appartiennent à l'aiguillon sont les soies piquantes. Ce sont des formations allongées (Fig. 32, .s. p), remplies de tissu cellulaire et contenant chacune une forte trachée ; à leur région distale, elles sont finement aiguisées et j. arnies sur le côté de dix dents de scie dirigées vers l'arrière ; sur une coupe transversale, elles affectent une forme ( Fig. 33 ) à peu près circulaire. Ces deux pièces symé- triquement et parallèlement disposées, s'ac- "^ cotent longitudinalement à la paroi du sillon de la gouttière lamellaire et restent pour ainsi dire suspendues dans celte posi- silion, grâce à une rainure externe qui reçoit exactement le rebord de la gout- tière lamellaire dont il a été question plus haut. Ce mode d'union ne se produit pas sur toute la longueur de la gouttière lamel- laire, mais il s'étend jusqu'à la région des soie
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