. Contribution à l'étude des Gastéropodes, opisthobranches et en particulier des Céphalaspides. Opisthobranchia. 140 J. GUIART B exact. La figure 81 représente deux dessins exécutés à la chambre claire et où l'on reconnaîtra très facilement les cellules de soutien que je décrivais, tout à l'heure, ainsi que les cellules neuro- épithéliales. .Mais ici du moins on peut observer tous les détails de la cellule de soutien y compris le pigment, les racines ciliaires, la bordure en brosse et les cils. Quant aux cellules neuro-épithéliales on peut constater que leur extrémité i)rotopl


. Contribution à l'étude des Gastéropodes, opisthobranches et en particulier des Céphalaspides. Opisthobranchia. 140 J. GUIART B exact. La figure 81 représente deux dessins exécutés à la chambre claire et où l'on reconnaîtra très facilement les cellules de soutien que je décrivais, tout à l'heure, ainsi que les cellules neuro- épithéliales. .Mais ici du moins on peut observer tous les détails de la cellule de soutien y compris le pigment, les racines ciliaires, la bordure en brosse et les cils. Quant aux cellules neuro-épithéliales on peut constater que leur extrémité i)rotoplasmique ne dépasse jamais le niveau inférieur de la cuticule. Cette extrémité ne possède certainement pas de cils et elle semble pouvoir se rétracter entre les cellules de soutien. C'est ce qui nous expliiiue que dans les macérations nous avons pu observer des longueurs et des formes variables dans la partie protoplas- niique de la cellule neuro- épithéliale. Cela du reste n'a pas lieu de nous éton- ner puis(|ue toute cellule sensorielle est en réalité une cellule nerveuse et nous savons aujourd'hui que le principal caractère (lu jtrolongement proto- |)lasmique de la cellule nerveuse est précisément l'amirboisme. Quant au prolongement centripète de la cellule neuro-épithé- liale, nous ne connaissons pas sa destinée, mais, par analogie avec ce que Rktzhis (1892) a observé chez Arion nous sommes en droit de supposer que chaque fibre nerveuse va se ramifier, sinon dans le ganglion, du moins dans le voisinage d'une des cellules sensitives qui sont étagées le long du nerf tenlaculaire. J'avais entre|)ris des recherches analogues sur l'organe de Hancock de la Pliiline, ces enirelailcs j'eus connaissance du travail de .Ma/. (1895) sur l'appareil olfaclif des Hulléens. Comme les faits que j'avais d('>jà observés ne faisaient que confir- mer les résultats


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