. Comptes rendus des séances de la Société de biologie et de ses filiales. Biology. â XIIà â tous égards, rrune ^iolution. cVextraii cVerfiol: pi'éseiitaiit toutes les qualités (ractivité, d<^ é exigibles, et nussi un do- sage qui permet de calculer la proportion exacte de principe actif par centimètres cubes de la solution. Ainsi arrivé aux points de vue physiologique et pliarinaco- logique, M. Peton a observé, dans la seconde partie de son travail, la question pratique d'application ; et dans une étude clinique personnelle, il a passé successivement en revue les ind
. Comptes rendus des séances de la Société de biologie et de ses filiales. Biology. â XIIà â tous égards, rrune ^iolution. cVextraii cVerfiol: pi'éseiitaiit toutes les qualités (ractivité, d<^ é exigibles, et nussi un do- sage qui permet de calculer la proportion exacte de principe actif par centimètres cubes de la solution. Ainsi arrivé aux points de vue physiologique et pliarinaco- logique, M. Peton a observé, dans la seconde partie de son travail, la question pratique d'application ; et dans une étude clinique personnelle, il a passé successivement en revue les indications et les effets thérapeutiques de l'ergot : 1° Dans les métrorrhagies ; 2° Dans les hémorrhagies du tube digestif; 3° Les hémoptysies ; 4° Les épistaxis. Les avantages de l'emploi de la solution d'ergot en injection hypodermique, rationalisé par la connaissance du mode d'action physiologique du médicament, ont été démontrés par les pre- mières oîjservations cliniques, d'une façon telle que ce travail est déjà devenu le point de départ d'applications thérapeutiques des plus importantes, qui ne feront, on en peut être sûr, que s'étendre. Le travail de M. Peton est de ceux que l'on ne saurait trop encourager, et signaler comme modèle à ceux qui se préoc- cupent, à juste titre, de donner une base réellement scienti- fique aux études médicales et à la thérapeutique. â Le second candidat est un novateur en thérapeutique. Les travaux qu'il a soimiis -k votre jugement ont trait à la métal- lothérapie ; ils remontent à l'année 1849. A cette époque déjà , M. Burq avait admis, d'après ses obser- vations cliniques, que l'application des métaux sur le tégu- ment externe, pourrait ramener la sensibilité normale modi- fiée par divers états morbides. Plus tard, la différence d'action des divers métaux lui révéla pl
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