Histoire de France populaire depuis les temps les plus reculés jusqu'à nos jours . t donc obtenu du roi (|uonnavancerait quaprès sêtre renforcé. Uncorps démigrés, dautres troupes rappeléesdu siège de Thionville, où lennemi rencon-trait la plus vigoureuse nsistance, enfin,un (ori)s de Hessois portaient maintenantles forces disponibles à SO et ([uehiues millehommes. Lennemi prit enlin rolfensive. Une faute de Dumouriez lui fit perdre lebénéfice de sa célérité et de sa bonne j)osi-tion. 11 avait trop faiblement garni lun desquatn> passages de lArgonne, celui de laCroix-aux-Rois, et ne sétait p
Histoire de France populaire depuis les temps les plus reculés jusqu'à nos jours . t donc obtenu du roi (|uonnavancerait quaprès sêtre renforcé. Uncorps démigrés, dautres troupes rappeléesdu siège de Thionville, où lennemi rencon-trait la plus vigoureuse nsistance, enfin,un (ori)s de Hessois portaient maintenantles forces disponibles à SO et ([uehiues millehommes. Lennemi prit enlin rolfensive. Une faute de Dumouriez lui fit perdre lebénéfice de sa célérité et de sa bonne j)osi-tion. 11 avait trop faiblement garni lun desquatn> passages de lArgonne, celui de laCroix-aux-Rois, et ne sétait point assuré silofficier ([uil y avait posté y avait fait lestravaux de défense nécessaires. Le général mSTOIHP: HK FRANCE autriihicii (.l;iiir;i\ t. a\ crti (|Uo\)[onû)Vc. La rtpriso ot riiuMdnc le 1). La porto de laCroix-aux-Lîois ontraiiia voWv dun autrepassaiife plus au noiil, le (-hène-Populeux,quavaient atta,(> l(>s émigrés. Le corps. Kclleraiann. français qui défendait le Cliéne-Populeux,menacé dêtre cou[»é, se retira sur Chûlons. Dumouriez craig-nit dabord que le corps(jui avait reperdu la Croix-aux-Hois neûtété aussi rejeté au loin, et que son proprecamp, à Grand-Pré, entre les rivières dAireet dAisne, ne lut l()Uin( par lAutrichienClairfayt et assailli de Iront par \r, un dePrusse. Par bonheur, lennemi nalla pas si laissa à Dumouriez le tfnnps dopérer unmouvement Irès-bijn combiné; et du com-mencer lexécution dun plan soudainementconeu pour réparer sa faute et son ( décidé à ne pas se retirer sur Chûluns, i-c (pii (Mit li\r( la (llianijiaiiiie à rmaciui,iMimouriez avait docidc de ne j>as quitterles bords de rAisn(», ni la lisière io la foret,daller se poster à SaintfvMenehonid, et dydonner rendez-vous aux divers corps quivenaient dêtre séparés de lui ou qui étaienten marche pour le rejoindre. Il partit de nuit et passa lAisne. Le ma-tin, au moment où il se c
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