Livre du chevalier allemand Ulric de Hutten sur la maladie française et sur les propriétés du bois de gayac : orné d'un portrait de l'auteur, précédé d'une notice historique sur sa vie et ses ouvrages . i) Cels. [De medicinà. II,cap. I). » Saluberrimum ver ejî, proxi-mè deindè ah hoc hiems, pericuïojîorœftas, autumnus, longe periculojîjji-mus. >i a Ad medicinam non idonea fonttempora, hiems & autumnus ; morhusmediocris vixfonatur, vehemens fo-nari non potejî. » Cette remarque efl confignée dans le recueil: Infigniores Jententiœ fe-ledœ ex libris A. C. Celjl medici in-ter latinos eloqu


Livre du chevalier allemand Ulric de Hutten sur la maladie française et sur les propriétés du bois de gayac : orné d'un portrait de l'auteur, précédé d'une notice historique sur sa vie et ses ouvrages . i) Cels. [De medicinà. II,cap. I). » Saluberrimum ver ejî, proxi-mè deindè ah hoc hiems, pericuïojîorœftas, autumnus, longe periculojîjji-mus. >i a Ad medicinam non idonea fonttempora, hiems & autumnus ; morhusmediocris vixfonatur, vehemens fo-nari non potejî. » Cette remarque efl confignée dans le recueil: Infigniores Jententiœ fe-ledœ ex libris A. C. Celjl medici in-ter latinos eloquenti[/îmi {Lib. II,cap. VIII). La plupart des fages obfervationsdHippocrate ont été acceptées parCelfe, répétées par lui dans fesécrits, comme lexpreffion parfaitede la vérité; elles ferviront toujoursà guider les praticiens dans leur con-duite. Ces citations proviennent des livresqui, au fiècle de Hutten, fervaient delefture habituelle, non-feulement auxmédecins, mais aux favants & auxgens du monde : les dofteurs de nosjours les confultent peut-être troppeu fouvent. CHAPITRE XV. // faut, durant la médication, fe priver de vin, sabjienirdes plaijirs ES règles à fuivre pendant le traite-ment me femblent un bienfait du guérifon ne peut sobtenir que fi lemalade fe foumet à une vie fage & fru-gale. Il eft écrit dans les livres facrésdes chrétiens quentre toutes les autres^ deux vertus fontagréables à Dieu^ la chafleté & la tempérance. Si on neles pratique pas^ la médecine par le Gayac devient non-feulement impuiifante^ pourrait citerde nombreux malades qui ont péri viélimes de leurcoupable régime : leur corps exténué par le mal napu réfifter à cette nouvelle caufe dépuifement. Admi- CHAPITRE XV. lO^ rons ici la fagefle du Créateur, qui na pas permis querhomme pût abufer de la reflburce précieufe offerte parle Gayac. On ne ma fignalé, en Allemagne, quun fu-jet dont la mort puiffe être a


Size: 1565px × 1596px
Photo credit: © The Reading Room / Alamy / Afripics
License: Licensed
Model Released: No

Keywords: ., bookcentury1800, bookdecade1860, booksubjectsyphilis, bookyear186