. Deuxième expédition antarctique francaise (1908-1910). Natural history -- Antarctica; Scientific expeditions -- Antarctica; Antarctica. iio PYCNOGONIDES DU «POURQUOI PASP^k Dragage n°X : 2ojanvior 1900, près de la Terre Alexandre-I^""; dialut T, 2!*7 mètres; température de l'eau sur le fond + 0°,B ; roche, vase bleue. L'n mâle « brun » (N" 282), dont le céphalothorax mesure 0 millimètres. Le cône supra-oculaire est surbaissé et un peu obtus ; les orifices sexuels sont absents et les ovigères incomplètement développés. Je rapporte les exemplaires précédents


. Deuxième expédition antarctique francaise (1908-1910). Natural history -- Antarctica; Scientific expeditions -- Antarctica; Antarctica. iio PYCNOGONIDES DU «POURQUOI PASP^k Dragage n°X : 2ojanvior 1900, près de la Terre Alexandre-I^""; dialut T, 2!*7 mètres; température de l'eau sur le fond + 0°,B ; roche, vase bleue. L'n mâle « brun » (N" 282), dont le céphalothorax mesure 0 millimètres. Le cône supra-oculaire est surbaissé et un peu obtus ; les orifices sexuels sont absents et les ovigères incomplètement développés. Je rapporte les exemplaires précédents à l'espèce décrite par M. Môbius, car ils en présentent à peu près tous les caractères, entre autres : mêmes dimensions relatives dans les diverses parties du corps, égalité du fémur et du tibia 2 chez la femelle, longueur un peu plus grande de ce dernier article dans le mâle, forme de l'abdomen qui est en massue et recourbé vers le bas, structure fort typique du doigt mobile des pinces qui se pro- longe en une saillie externe à la base de sa griffe, petites protubérances éparses sur les téguments (notamment sur les pattes) et qui servent de baseà des soiesinégalestoujourspeuallongées,ctc. Pourtantjedois signaler deux ditTérences importantes, l'une relative au scape des chélicères et l'autre à la structure des ovigères. M. Mô- bius décrit et figure les deux articles du scape comme bien distincts, alors qu'ils y^^ sont complète - ment fusionnés danslesexemplai- res précédents, où le seul reste de leur articula- tion primitive est un coude légère- ment renflé, le plus souvent sans trace de suture (fig. 62, 63). Quant aux ovigères, ils ne sont bien développés que chez la femelle (fig. 64), où leurs articles présentent à peu près les longueurs relatives suivantes : 1,25 â 2 â 2 â 3â 2,5 â2 â 1 + 1 â 1 â 1, les articl


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