. Le theatre des Grecs. Tousyconfentent; mais les Lacédémonieasredemandent Pyle ; & les Athéniens loindaccorder cette place, demandent à leurtour Echinus ** , une des villes dans le ?Aristophane ici. T h u u t a r e dans Cimon. ** Echinus fe trouve en quatre endrdics i, 11Tome VI. H i7v ly sistrata; Golphe de Malie , & quelques places duterritoire de Mégare : ce qui met forten colère les Députés de Sparte. Lyflftra-te fans entrer dans cette difcuflion leurpromet daccommoder toutes chofes, &les invite à un feftin. La pièce finit pardes Cantiques. y a une Ifle de la mer Egée de
. Le theatre des Grecs. Tousyconfentent; mais les Lacédémonieasredemandent Pyle ; & les Athéniens loindaccorder cette place, demandent à leurtour Echinus ** , une des villes dans le ?Aristophane ici. T h u u t a r e dans Cimon. ** Echinus fe trouve en quatre endrdics i, 11Tome VI. H i7v ly sistrata; Golphe de Malie , & quelques places duterritoire de Mégare : ce qui met forten colère les Députés de Sparte. Lyflftra-te fans entrer dans cette difcuflion leurpromet daccommoder toutes chofes, &les invite à un feftin. La pièce finit pardes Cantiques. y a une Ifle de la mer Egée de ce nom, 1. Uneville delAcarnanie. 3. Une ville de la Une ville dans le Pentapole dAfrique. Il eftmanifefte que ce neft pas cette dernière que de^mandoient les Athéniens , & il y a apparenceque cétoit la troifiéme ; puifquil eft dit un mo-ment après, quils demandoient encore àcs vil-rles dans le Golphe de Malie , qui eft un Golphede la Phthiotide. ( Voyez la caxte, ). COMEDIE. 17* LES GRENOUILLES, COMÉDIE DARISTOPHANE, Jouée lan 16, de la guerre du Péloponnefe ;la troifiéme année de la 93. Olympiadefous VArchonte Caillas après Antigê-nes, La preuve efl tirée dun Scboliaf-te >& dAriflopbane même, VOici la féconde pièce dAriftopha-ne contre Euripide. Dans les Fêtesde Céres , il eft pué comme un hommefouple & fin. Dans les Grenouilles on lejoue principalement comme Poëte. Sansentrer ici dans des difcuflîons purementconjecturales, & incapables de fatisfaireun Le&eur fenfé , il eft certain que lePoëte comique haiiïbit le tragique foitque celui-ci tût ami de Socrate, foit quileût eu quelque démêlé avec Ariftopna-t\Q, foit que le proverbe ancien eût lieualors comme toujours , à fçavoir quun Hij \*)i LES GRENOUILLES, bel efprit ne fçauroic en fouffrir un au-tre. Cette haine éclate allez dans toutesles Comédies que nous avons parcou-rues. Il ne sagit que dexaminer li lesrailleries font auffi jufles quelles fo
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