. Revue des études arméniennes . as partir sans nouvel avis ; cet ordre arrivaaprès le passage du détachement, à la suite de diverses difficultésde transmission. Le capitaine André arriva le 2/1 novembre à Marache. Lesnotables, avec le président de la municipalité, le cadi et le muftiallèrent à sa rencontre; le mutasserif le reçut au konak, avecfanfare et honneurs rendus par la gendarmerie et lui présenta lesfonctionnaires. Il y eut ensuite un thé avec les autorités ottomaneschez le commandant darmes, le capitaine Fontaine. Enfin le soir,les Bayazid Zadé offrirent un dîner dapparat. Tout se pa
. Revue des études arméniennes . as partir sans nouvel avis ; cet ordre arrivaaprès le passage du détachement, à la suite de diverses difficultésde transmission. Le capitaine André arriva le 2/1 novembre à Marache. Lesnotables, avec le président de la municipalité, le cadi et le muftiallèrent à sa rencontre; le mutasserif le reçut au konak, avecfanfare et honneurs rendus par la gendarmerie et lui présenta lesfonctionnaires. Il y eut ensuite un thé avec les autorités ottomaneschez le commandant darmes, le capitaine Fontaine. Enfin le soir,les Bayazid Zadé offrirent un dîner dapparat. Tout se passait donc de manière satisfaisante; daiffeurs, lecapitaine André, qui a une éducation musulmane remarquable(ancien élève de lEcole des Langues orientales) et qui, enmars 1919, avec dix gendarmes turcs, avait instauré au Djebel I ^^^ Tous ces clîréliens étaient étrangers au pays, généralement caucasiens,pour éviter les frictions. É lirriio (les ( annôiilpiincs, fnsc. .>. P. 33îî et p^ Fiji. 8. — (îendarnierio cilicloiiiie. En avant le capitaine Milliad bey; derrière lui, en blanc, le commandant Sedki bey.
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